La preuve par trois : les experts de The Conversation déclinent 3 aspects d’une question d’actualité en 3 épisodes à écouter, à la suite ou séparément ! Dans cette série, Julien Pillot, enseignant-chercheur en économie et stratégie à l’INSEEC School of Business & Economics, démontre que les nouvelles mobilités ne sont pas forcément aussi douces qu’on nous le présente au travers l’étude de 3 cas : les véhicules électriques, les vélos et les trottinettes en libre-service.
Trottinettes en ville, une invasion massive mais très calculée
Les opérateurs ont opté pour une stratégie de volume dont l’objectif consiste, in fine, à préempter le marché pour mieux évincer la concurrence. Et tant pis pour l’écologie.
Essor du véhicule électrique, ça freine toujours !
Bien que les constructeurs redoublent d’efforts, aucune alternative crédible aux véhicules thermiques n’émerge encore. Les freins à l’adoption seront encore longs à desserrer.
Les vélos en libre-service encore loin de la rentabilité
L’intensité concurrentielle et la course au volume (comme pour les trottinettes) ne permettent pas encore aux opérateurs de dégager de profits et d’installer durablement leur offre.