La cybersécurité est aujourd’hui un métier d’hommes. Mais ce pourrait être aussi un métier de femmes. À condition de parvenir à faire évoluer les mentalités, chez les hommes comme chez les femmes…
Manifestation en 2013, commémorant les événements de 2011 et le départ de la révolution ‘arabe’ à Tunis où les revendications féministes ont été particulièrement appuyées.
Amine Ghrabi/Flick
L’horizon de la parité successorale répond à un enjeu économique, s’inscrit dans une mutation sociale et prolonge la sécularisation du système juridique tunisien.
Tête de poupées en silicone exposée à l'usine Exdoll, en Chine.
Fred Dufour/AFP
Dans son essai, « Les Femmes et le sexe dans la Rome antique », Virginie Girod nous offre un vivant panorama de la sexualité féminine à l’époque romaine.
Journée « Filles et Maths » à L'Ecole polytechnique avec une centaine de lycéennes de l'Essonne.
J. Barande/École polytechnique
L’exposition qui se tient actuellement à la Tour Jean sans Peur couvre tous les aspects de l’amour au Moyen Âge, des plus spirituels aux plus charnels, des plus théoriques aux plus triviaux.
Le droit de porter un enfant pour toutes ?
Chris Benson/Unsplash
Quand une athlète devient trop forte dans sa discipline, l’institution sportive convoque la science pour l’aider à conclure qu’elle n’est pas (ou plus) une femme.
Pour qui la plus grosse part du gâteau de mariage ?
VisualHunt
La notion de « crise de la masculinité » brouille la compréhension de phénomènes sociaux complexes et réaffirme une division radicale de l’humanité entre le masculin et le féminin.
Les femmes kurdes ont été à la fois actrices et enjeux du conflit contre Daech. À quel prix? (photos issues du compte flickr du mouvement de guérilla kurde).
Kurdish YPG Fighters/Flickr
Danièle Joly, Institut d'études avancées de Paris (IEA) – RFIEA and Adel Bakawan, École des hautes études en sciences sociales (EHESS)
La fin du projet d’autonomie kurde emportera-t-elle avec elle l’avenir des femmes kurdes, à la fois actrices et enjeux médiatiques de la géopolitique syro-irakienne ?
Plusieurs dizaines de femmes sont rassemblées le 2 avril 2011 place du Capitole à Toulouse, pour protester contre “toutes les formes de stigmatisation des musulmans en France.
Remy Gabalda/AFP
En tant que victime, il est difficile de faire reconnaître par la justice des faits de harcèlement. Une situation que les ordonnances Macron pourraient aggraver.
La procréation médicalement a multiplié les nouvelles formes de famille.
Gift Habeshaw/Unsplash
Marta Spranzi, Université de Versailles Saint-Quentin en Yvelines – Université Paris-Saclay and Laurence Brunet, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne
Un couple avec leurs enfants biologiques, c’est généralement ainsi qu’est définie la famille dite naturelle. Quid des familles adoptives, recomposées, monoparentales ou homosexuelles ?
« Contre l'islamophobie et contre la guerre » lut-on sur la pancarte de cette jeune femme au Royaume-Uni, lors d'une manifestation en 2017.
Pxhere
Contrairement aux préjugés, les femmes de culture musulmane en France et en Grande-Bretagne s’impliquent avec force dans la vie civique et politique des pays où elles vivent.
Des femmes présentent leurs demandes aux élus de leur district.
UHRC
Pour obtenir de meilleures conditions de vie dans leurs bidonvilles et faire valoir leurs droits, des femmes n’hésitent pas à confronter les autorités et, sans violence, obtiennent gain de cause.
Les hommes posent plus de questions dans les séminaires scientifiques et sont plus visibles. Roads Academy Masterclass, Warwick University, Novembre 2010.
HA1-000602/Flickr
Le milieu académique n’échappe pas aux discriminations et stéréotypes de genre : il suffit de se demander qui pose le plus souvent les questions lors des conférences pour s’en rendre compte.
De gauche à droite, Dionys Mascolo, Marguerite Duras et Robert Antelme.
DR
Enfant des colonies, résistante, un temps membre du PCF, femme engagée, Duras n’a cessé de faire transparaître ses diverses identités au sein d’une production prolifique.
Professeure à l’Université Panthéon-Assas Paris II et membre du Centre d’études et de recherches de sciences administratives et politiques (CERSA), Université Paris 2 Panthéon-Assas