L’Allemagne entre dans une période accrue de turbulences alors qu’Angela Merkel estime que le pays a besoin de continuité face à la crise migratoire et à la montée des populismes en Europe.
Angela Merkel, au siège de son parti, la CDU, le 25 septembre.
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Un séisme de moyenne amplitude s’est produit lors des législatives du 24 septembre : malgré le succès de l’extrême droite, l’exercice de la démocratie en Allemagne n’est pas altéré.
La Chancelière, le 29 août à Berlin, à l'occasion de sa traditionnelle conférence de presse d'été.
Tobias Schwarz/AFP
Rien ne paraît pouvoir empêcher la reconduction d’Angela Merkel dans les fonctions de chancelière. Ce sera alors son quatrième mandat. Seule inconnue : avec quelle coalition ?
Martin Schulz (ici en 2014), du Parlement européen à la chancellerie ?
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Martin Schulz, le nouveau dirigeant du SPD, n’a pas encore gagné et Merkel, pas déjà perdu. Mais il a déjà sorti son parti du purgatoire, tandis que le camp Merkel se divise.
La chancelière à Berlin, le 29 novembre 2016.
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Sens tactique du compromis et détermination politique : la Chancelière allemande, qui brigue un nouveau mandat, fait preuve d’une longévité exceptionnelle à la tête de l’Allemagne.
Avec quels projets relancer l'Europe ?
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Résultats d’une enquête sur des grandes questions européennes menée d’avril à juillet 2016 auprès des parlementaires français et allemands. La défense et l’immigration font consensus.