Si les retombées des politiques de diversité ne sont plus à démontrer, ceux qui se chargent de les appliquer doivent encore lever certaines limites dans leur action.
Le marché mondial de l’enseignement supérieur commercial est un nouvel exemple des bénéfices supplémentaires qu’engrangent les organisations qui réduisent les disparités.
Hubert Jaspard, École des hautes études en santé publique (EHESP)
Certains facteurs de performance individuelle, comme l’intelligence situationnelle ou les interactions avec l’équipe, sont relégués au second parce que non mesurables. Ils sont pourtant essentiels.
L’adoption du concept de fake perfs dans nos esprits marquerait une avancée significative vers une acculturation au sport propre et plus globalement à la performance éthique.
Jérôme Caby, IAE Paris – Sorbonne Business School and Jacky Koehl, Université de Lorraine
Selon ces investisseurs qui détiennent 2,5 % du capital, le spécialiste des spiritueux resterait sous performant par rapport à son concurrent britannique Diageo.
Des chercheurs ont démontré que, dans les organisations qui pratiquaient la rémunération à la performance, les salariés avaient davantage tendance à dissimuler et manipuler les informations clés.
La vision de la performance des salariés a intégré des aspects qui dépassent les questions de temps. Pourtant, les limitations des pauses, par exemple, restent très répandues. Pourquoi ?
François Hug, Institut Universitaire de France (IUF)
Nous utilisons pour nos mouvements des combinaisons de muscles différentes pour chaque individu. L’impact de ces différences sur la performance sportive est un sujet d’étude passionnant.
Dans le sport, les entraîneurs calmes obtiennent généralement de meilleurs résultats que les plus agités. Une tendance que l’on retrouve chez les managers en entreprise.
Dans ses discours, le CEO du groupe industriel américain insiste sur la création de valeur passée au détriment d’une vision prospective. Au grand désarroi des analystes et des investisseurs.
Les politiques d’attractivité d’une ville ou d’un territoire se fondent essentiellement sur des critères de performances économiques qui éclipsent les facteurs humains et environnementaux.
Il faut veiller à ne pas transmettre un perfectionnisme négatif à nos enfants, nos élèves ou nos étudiants, il faut repenser nos manières d’éduquer et d’enseigner pour enrayer ce début d’épidémie.
On prête moult vertus à la méditation de pleine conscience, parfois sans base scientifique. Pour ce qui est d’améliorer la concentration ou la mémoire de travail, la science a parlé : elle valide.
Professeur d'économie et de management, Directeur de la Recherche de l’IRIMA, Membre de la Chaire Mindfulness, Bien-Etre au travail et Paix Economique, Grenoble École de Management (GEM)
Associate professor en économie - Grenoble Ecole de Management, F-38000 Grenoble, France - coordinatrice recherche Chaire Unesco pour une culture de paix économique - co-titulaire Chaire Territoires en Transition, Grenoble École de Management (GEM)
Professeur des Universités en Physiologie de l'Exercice / Neurosciences Intégratives, Directeur Unité Recherche EuroMov Digital Health in Motion, Université de Montpellier
Enseignante certifée (lettres modernes, sciences de l'information et de la communication, FLE), autrice (France Culture, Radio Nova, Joca Seria), Université Sorbonne Paris Nord