Améliorer la santé humaine
L'Inserm est le seul organisme public de recherche français entièrement dédié à la santé humaine. Sous la double tutelle du ministère de la Santé et du ministère de la Recherche, l’Inserm dispose d’un budget de 998 millions d’euros et réunit 15 000 chercheurs, ingénieurs et techniciens, avec un objectif commun : améliorer la santé de tous par le progrès des connaissances sur le vivant et sur les maladies, l’innovation dans les traitements, la recherche en santé publique.
Offrir une capacité de recherche de premier plan
L’Inserm compte plus de 350 structures de recherche, réparties sur l’ensemble du territoire français et à l'étranger. Elles sont accompagnées par 13 délégations régionales pour une gestion de proximité. L'animation scientifique des grands champs de recherche biomédicale et en santé est assurée par les 9 instituts thématiques de l'Inserm.
Produire de l’excellence
L’Inserm est au 1er rang européen des institutions académiques de recherche dans le domaine biomédical, avec près de 12 000 publications par an, et au 2e rang mondial derrière les National Institutes of Health (NIH) intra-muros.
La France vit un second confinement pour tenter de juguler l’épidémie de Covid-19. Différence majeure par rapport à celui de mars : écoles, collèges et lycées restent ouverts. Analyse de la situation.
La Covid-19 semble toucher (et tuer) davantage les hommes que les femmes. Mais les données brutes sont parfois trompeuses, et leur analyse requiert une certaine prudence.
Poids, aliments, alcool, sport… Se basant sur les dernières connaissances, le réseau NACRe et l’Institut National du Cancer publient leurs recommandations pour les patients atteints de cancer.
Sherlock Holmes fait des déductions brillantes – ses raisonnements ont tout de « l’inférence bayésienne », une méthode mathématique très utilisée aujourd’hui en science.
Mieux s’alimenter permettrait de limiter le risque de cancer. Mais comment ? Les réponses des experts du réseau NACRe, qui étudient les liens entre alimentation et cancer depuis vingt ans.
Quel impact a le SARS-CoV-2 sur la santé des enfants ? Faut-il les masquer dès trois ans ? Quel rôle jouent-ils dans l’épidémie ? Le point sur ce que l’on sait de l’infection chez les plus jeunes.
Alors que la mauvaise saison, synonyme de recrudescence des virus respiratoires, approche à grands pas, où en est-on de l’épidémie en France, et à quoi faut-il s’attendre à l’automne ?
Les outils numériques se multiplient, le flux d’informations qui nous parvient ne cesse de croître. Comment mieux se concentrer ? Quelques bonnes feuilles sur les mécanismes de l’attention.
Sévissant en Afrique, en Asie et en Amérique, la peste fait partie des maladies ré-émergentes. Pour l’éradiquer, il importe de mieux comprendre les mécanismes de transmission entre ses divers hôtes.
En attendant un potentiel vaccin, la recherche continue pour traiter efficacement le Covid-19. Utiliser des anticorps bloquant spécifiquement le virus pourrait s’avérer efficace.
L’association du remdesivir avec le diltiazem donne des résultats précliniques très prometteurs et un essai chez l’homme devrait voir le jour dans les prochains mois.
Certaines choses ne s’apprennent pas que sur les bancs de l’école, c’est le lot de l’éducation sexuelle. Pour cela, les géants des vidéos à la demande s’emploient à éduquer les jeunes générations.
En attendant un hypothétique vaccin contre le coronavirus SARS-CoV-2, où en sont les recherches sur les médicaments ? Dominique Costagliola fait le point sur les principales pistes suivies.
Aunque afecta principalmente al tracto respiratorio superior, el SARS-CoV-2- también ataca otros órganos, entre los que podría estar incluido el cerebro, lo que explicaría algunos problemas cognitivos.
Y aura-t-il une seconde vague de Covid-19 ? Le confinement a-t-il eu des effets ? Depuis quand le virus circule-t-il en France ? Comment s’est mise en place l’épidémie ? Dominique Costagliola répond.
S’il infecte surtout les voies respiratoires supérieures, le SARS-CoV-2 attaque aussi d’autres organes. Le cerveau en ferait partie, ce qui pourrait expliquer certains troubles cognitifs.
Chercheur en Bioinformatique à l’Inserm, Unité Inserm 1090 TAGC, Théories et Approches de la Complexité Génomique, Aix-Marseille Université, Marseille., Inserm
Research Associate Professor of Epidemiology at CRESS - EREN (Inrae, Inserm, Université Sorbonne Paris Nord, Université Paris Cité), and head of the NACRe network (Réseau NACRe), Inserm
Doctorante en épidémiologie à Santé publique France et à l’Inserm, associée au Réseau doctoral en santé publique coordonné par l’École des hautes études en santé publique (EHESP), Inserm
PU-PH, chef du service de biochimie métabolique à l'hôpital Necker-enfants malades, professeur à l'Université Paris Cité, directeur de l’UMR-S 1124 « Toxicité Environnementale, Cibles Thérapeutiques, Signalisation Cellulaire et Biomarqueurs (T3S) », Inserm