Améliorer la santé humaine
L'Inserm est le seul organisme public de recherche français entièrement dédié à la santé humaine. Sous la double tutelle du ministère de la Santé et du ministère de la Recherche, l’Inserm dispose d’un budget de 998 millions d’euros et réunit 15 000 chercheurs, ingénieurs et techniciens, avec un objectif commun : améliorer la santé de tous par le progrès des connaissances sur le vivant et sur les maladies, l’innovation dans les traitements, la recherche en santé publique.
Offrir une capacité de recherche de premier plan
L’Inserm compte plus de 350 structures de recherche, réparties sur l’ensemble du territoire français et à l'étranger. Elles sont accompagnées par 13 délégations régionales pour une gestion de proximité. L'animation scientifique des grands champs de recherche biomédicale et en santé est assurée par les 9 instituts thématiques de l'Inserm.
Produire de l’excellence
L’Inserm est au 1er rang européen des institutions académiques de recherche dans le domaine biomédical, avec près de 12 000 publications par an, et au 2e rang mondial derrière les National Institutes of Health (NIH) intra-muros.
L’accès à l’insémination artificielle avec donneur pour les femmes seules et les couples de femmes va être discuté prochainement en France. Plusieurs raisons plaident pour un refus.
Valérie Lallemand-Breitenbach, directrice de recherche à l’Inserm, pilote le dispositif pédagogique Jouer à débattre. Son but : donner aux jeunes l’envie de débattre et le goût des sciences.
Dans cette maladie génétique rare touchant uniquement les filles, la respiration peut aussi bien s’accélérer que s’arrêter brutalement. Des chercheurs testent un médicament pour la régulariser.
Une première mondiale : le programme « 13-Novembre » mobilise, sur 10 ans, des centaines de chercheurs pour explorer les enjeux mémoriels des attentats. Une réponse épistémologique à la tragédie.
Détruire les cellules cancéreuses avec l'aide de la lumière, c'est le principe de la thérapie photodynamique. Un colloque international lui est consacré fin octobre à Nancy.
La technologie d’édition des génomes, CRISPR-Cas9 est encore jeune : la publication annonçant sa « naissance » date de 2012. Pourtant, elle est déjà nobelisée. Que faut-il en retenir ?
Dans beaucoup de camps de migrants, à Metz, à Paris, les conditions d’hygiène ne sont pas réunies. Pourtant le savoir-faire existe. Il est déjà appliqué dans cette commune du Nord. Reportage.
Nos choix sont-ils le reflet de nos préférences ? À l’inverse, nous accordons nos préférences à nos choix initiaux. Un biais trompeur, que l’on peut surmonter en regardant ce que font les autres.
Le cerveau est un immense réseau social où les neurones interagissent comme les « amis » de Facebook. On peut étudier les propriétés de l’organe en action grâce, notamment, à la théorie des graphes.
Une réflexion éthique doit être menée sur la science et ses représentations. Les biologistes doivent s’engager pour remettre en cause les fausses évidences sur ce qui nous fait hommes et femmes.
Tout ça, c’est la faute aux hormones ! Une vulgate voudrait nous faire croire qu’elles commandent aux femmes d’être douces et aux hommes de se montrer conquérants. Il n’en est rien…
Comment devient-on fille ou garçon ? Les recherches récentes montrent que les influences familiales et sociales contribuent au câblage des réseaux de neurones du cerveau de l’enfant en croissance.
À chaque drame, sa cellule psychologique d'urgence. Créées il y a 10 ans à l'occasion d'attentats à Paris, ces « CUMP » sont-elles efficaces ? Et sur qui ?
Chercheur en Bioinformatique à l’Inserm, Unité Inserm 1090 TAGC, Théories et Approches de la Complexité Génomique, Aix-Marseille Université, Marseille., Inserm
Research Associate Professor of Epidemiology at CRESS - EREN (Inrae, Inserm, Université Sorbonne Paris Nord, Université Paris Cité), and head of the NACRe network (Réseau NACRe), Inserm
Doctorante en épidémiologie à Santé publique France et à l’Inserm, associée au Réseau doctoral en santé publique coordonné par l’École des hautes études en santé publique (EHESP), Inserm
PU-PH, chef du service de biochimie métabolique à l'hôpital Necker-enfants malades, professeur à l'Université Paris Cité, directeur de l’UMR-S 1124 « Toxicité Environnementale, Cibles Thérapeutiques, Signalisation Cellulaire et Biomarqueurs (T3S) », Inserm