Fondée en 1873, Polytechnique Montréal est l’un des plus importants établissements d’enseignement et de recherche en génie au Canada. Polytechnique occupe le premier rang au Québec pour le nombre de ses étudiants et l’ampleur de ses activités de recherche. Avec plus de 45 757 diplômés, Polytechnique Montréal a formé près du quart des membres actuels de l’Ordre des ingénieurs du Québec. L’institution offre plus de 120 programmes. Polytechnique compte 250 professeurs et plus de 8 200 étudiants. Son budget annuel de fonctionnement s’élève à plus de 210 millions de dollars, dont un budget de recherche de plus de 70 millions de dollars.
Depuis quelques années, le mot « accélérateur » est à la mode. Il est partout. Des agences, des regroupements d’entrepreneurs, des écoles, tous prétendre créer des accélérateurs.
Le fait d’en apprendre un peu plus sur nous pour transmettre ensuite ce savoir aux machines sous forme d’algorithmes, nous fait réaliser que nous ne sommes pas ce que nous pensions que nous étions.
Ce processus neurotypique – une reconnaissance oculaire du général au particulier – vient en quelques sorte confirmer la pertinence des techniques de lecture rapide.
La thérapie d’exposition par réalité virtuelle a de beaux jours devant elle, grâce à la personnalisation croissante des soins en santé mentale et la diminution des fonds publics dans ce domaine.
En nous déstabilisant « juste assez » l’artiste nous fait faire de petits sauts de conscience. Où sommes-nous ? Dans quelle réalité ? Ces moments privilégiés avant qu’une idée naisse.
Ce que nous sommes tient plus à l’histoire que nous nous racontons sur nous-mêmes et les autres, sur la compréhension que nous en tirons, que sur des traits de personnalité prédéterminés.
Un phénomène qui gagne en ampleur : des personnes de notre entourage se plaignent d’être de plus en plus seules, et ce, en dépit des outils de communication dont nous disposons.
Une équipe de chercheurs canadiens en collaboration avec un artiste sculpteur, Philip Beesley, ont mis au point une sculpture robotique interactive capable de curiosité.
Nous avons souvent tendance à nous placer dans le rôle de l’émetteur alors qu’il est plus efficace, pour des expériences d’apprentissage, de se placer parmi les éléments.
Une équipe de chercheurs de l’université Queen Mary de Londres explore différentes approches pour augmenter la créativité en stimulant électriquement le cerveau.
Deux aspects sont à distinguer : l’art du point de vue de l’artiste, le volet créatif ; et l’art du point de vue du spectateur, le volet perceptuel. Il n’y a pas d’art sans ce tandem.