L’Université Paris-Saclay réunit au sein d’un modèle original 19 établissements autonomes d’enseignement supérieur et de recherche et d’organismes de recherche, les établissements membres, qui conservent leur identité ainsi que leurs moyens et conviennent de coordonner leurs actions et de mutualiser certains moyens dans le cadre d’un projet partagé défini et mis en œuvre conjointement.
Située au cœur d’une des zones économiques et de recherche privée les plus importantes d’Europe, l’Université Paris-Saclay est un moteur important de développement du tissu industriel, en particulier dans les domaines de haute et moyenne technologies. L’Université Paris-Saclay compte dans ses rangs pas moins de deux prix Nobel, six médaillés Fields, 35 membres de l’Académie des Sciences et 9 membres de l’Académie des Technologies.
L’Université Paris-Saclay propose une large gamme de formations de la licence au doctorat au sein de schools et d’écoles doctorales, de haut niveau international, dans les domaines des sciences de la nature et des sciences humaines et sociales. 8 000 étudiants en masters, 5 000 doctorants, autant d'élèves ingénieurs et un large cycle en licence rassemblent quelque 65 000 étudiants au sein des établissements fondateurs et associés.
Les poussières peuvent être riches d’enseignements. L’analyse de celles collectées autour de la comète Tchouri a apporté de nouvelles informations sur l’histoire du Système solaire.
La vulgarisation met en jeu des ressorts plus complexes qu’il n’y paraît. Les scientifiques qui s’y intéressent doivent en prendre conscience, sans pour autant abandonner leurs idéaux.
Il est possible de prendre de l'âge sans avoir des problèmes de dépendance ou des troubles cognitifs. Lire, marcher, voir du monde ou jouer aux échecs sont autant de manière de les prévenir.
Maxime Fulconis, Sorbonne Université and Catherine Kikuchi, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay
Le discours actuel qui tend à opposer personnes méritantes et « fainéants » rejoue un très ancien débat médiéval, celui du « bon pauvre » et du « mauvais pauvre ».
Cette étude montre une profonde transformation en cours : une accélération de mutations engagées il y a une vingtaine d’années dans l’enseignement supérieur.
Comment une technologie née de la finance – la blockchain – peut aider l’industrie pharmaceutique à réaliser des essais cliniques protecteurs des patients.
Se passer de viande, voire de tout produit issu d'un animal, est une tendance forte actuellement. Que dit la science à propos de ces nouveaux régimes ?
Depuis la fin des années 1990, la mode des start‑up est une passion française. Analyse historique de cette passion et de l’évaluation des politiques publiques qui l’encourage.
Le rôle du travail dans la survenue des cancers est sous-estimé. En conséquence, les salariés malades peinent à obtenir réparation, comme le montre l’étude de leurs parcours.
Quel rapport entre une mousse au chocolat et l’expansion de l’univers ? Entre la soupe primitive des premières minutes de l’Univers et une sauce émulsionnée ?
Maître de conférences, Centre de recherche en management (LAREQUOI), Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay
Chercheur Associé au Laboratoire Printemps, UVSQ/Paris-Saclay, co-président du Groupe d'études et de recherches sur les mouvements étudiants (Germe), Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay
Maître de conférence au Département de Sciences Humaines et Sociales de l'ENS Paris-Saclay, Centre for Economics at Paris-Saclay (CEPS), École Normale Supérieure Paris-Saclay – Université Paris-Saclay
Chercheuse en sciences du climat, ancienne coprésidente du groupe de travail I du GIEC (2015-2023), directrice de recherche CEA au Laboratoire des Sciences du Climat et de l'Environnement / Institut Pierre Simon Laplace, Paris-Saclay, Université Paris-Saclay