Malgré l'accord historique sur les pertes et dommages l'an dernier à la COP27, les pays riches les plus émetteurs se soustraient encore à toute idée de compensation pour les pays pauvres.
L’accord conclu fin 2022 à la COP27 prévoit un fonds pour répondre aux pertes et dommages liées au changement climatique. Mais les modalités financières restent inconnues.
Dans de nombreux cas, la philanthropie sert aux entreprises à « réparer », dans des conditions qu’ils définissent eux-mêmes, les dégâts qu’ils causent par ailleurs.
Lauren Touchant, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa; Elie Klee, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa; Erin Dobbelsteyn, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa; Lynda Hubert Ta, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa; Nessan Akemakou, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa, and Thomas Burelli, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa
La COP15 peut être considérée comme un succès avec l’adoption d’un cadre qui vise notamment à protéger au moins 30 % des zones terrestres, côtières et marines d’ici 2030.
Réflexion sur la pertinence de fusionner les agendas sur le climat et sur la biodiversité afin d’éviter un système à deux vitesses dans une ère post-pandémique.
Le point sur les mécanismes financiers existants pour protéger la biodiversité, et sur l’ambiguïté du concept de « crédits biodiversité » évoqué par Emmanuel Macron à Charm El-Cheikh.
Le contraste est saisissant entre Bolsonaro, déforesteur en chef, et Lula, qui se veut défenseur de l’Amazonie. Au point de susciter des espoirs trop élevés sur le court terme ?
Thomas Burelli, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa; Alexandre Lillo, Université du Québec à Montréal (UQAM); Alycia Leonard, University of Oxford; Elie Klee, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa; Erin Dobbelsteyn, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa; Justine Bouquier, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa, and Lauren Touchant, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa
L’accord historique pour le financement des pertes et préjudices a été éclipsé par l’absence de progrès dans l’élimination progressive des énergies fossiles.
Dans sa décision finale, la COP27 ouvre la perspective d'un élargissement des transferts financiers des pays riches vers les pays les moins développés économiquement. Une réelle avancée.
Les chiens sauvages d'Afrique s'adaptent à la hausse des températures en utilisant un indice qui ne permet plus de prévoir avec précision les meilleures conditions de reproduction.
Le bol d’air qu’avait constitué la promesse des 100 milliards de dollars annuels au titre de la solidarité Nord-Sud est aujourd’hui source de frustration pour les pays en développement.
L’Égypte accueille la COP27 alors qu’elle bafoue toujours les droits fondamentaux de ses citoyens. Or, la lutte contre le changement climatique doit inclure la protection des droits de la personne.
Professeur en droit, Section de droit civil, Université d’Ottawa (Canada), membre du Conseil scientifique de la Fondation France Libertés, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa
Doctorant en droit international public, coordinateur du Centre du droit de l'environnement et de la durabilité mondiale de l'Université d'Ottawa, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa
Professor at Vancouver Island University & Postdoctoral fellow, Centre d’études en gouvernance et du Centre de droit de l’environnement et de la durabilité mondiale, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa