Emprunter en cryptomonnaie permet de lever certaines contraintes. Néanmoins, pour garantir qu'il remboursera, l'emprunteur anonyme doit déposer un collatéral, ce qui réduit l'intérêt de l'opération.
Pour une entrepreneuse, entretenir des relations politiques, c’est avoir un accès privilégié à l’information et donc aussi potentiellement prendre connaissance de discriminations décourageantes.
Ydriss Ziane, IAE Paris – Sorbonne Business School
Le droit, hier plus favorable aux prêteurs, l’est aujourd’hui surtout pour les ménages, ce qui n’est pas neutre dans un contexte où l’endettement est de plus en plus subi.
Une étude démontre l’existence de préjugés chez les chargés d’affaires qui peuvent conduire un client à obtenir deux décisions différentes au sein d’une même banque.
La part de la population en mesure d’acquérir un logement se réduit partout, comme le montre une étude récente qui observe des dynamiques similaires à Paris, Lyon et Avignon.
Le contexte actuel devrait favoriser les produits financiers censés comporter des protections face à la flambée des prix. Or, leurs cours ne cessent de baisser. Pourquoi ?
Le cas des « emprunts toxiques » souscrits dans les années 2000 a révélé des modes de décision qui interrogent au moment où le Sénat veut lancer une nouvelle étape dans la décentralisation.
Le maintien à des niveaux élevés du prix du pétrole ainsi que les réactions de Moscou aux mesures occidentales soutiennent le cours du rouble. Décryptage.
S'adresser à un fournisseur ou encore accepter des garanties sur un prêt peut permettre de convaincre un banquier que l'amplification de l'asymétrie d'information a rendu plus réticent.
Face aux difficultés, les petites et moyennes entreprises ont intérêt à densifier leurs relations bancaires, tout en constituant un pool d’établissements pour faire jouer la concurrence.
Les emprunteurs exerçant dans les secteurs d’activité avec lesquels la banque travaille le plus bénéficient généralement de montants supérieurs pour leurs emprunts.
Une mesure ponctuelle de la situation de trésorerie des entreprises françaises permet de conclure à un quasi-retour à la normale dû notamment à l’injection massive de liquidités dans l’économie.
Le taux de refus de Bercy (2,4 % à mi-avril) aux demandes pour faire face aux difficultés de trésorerie ne prend probablement pas en compte les dossiers que les banques ne veulent pas monter.
Face à la sous-capitalisation des TPE-PME françaises qui vont devoir rembourser les prêts garantis par l’État, des outils comme le prêt participatif ou les titres hybrides peuvent être mobilisés.
L’ajustement des ratios comme l’EBIDTA, nécessite une information financière saine et transparente, en précisant aux banquiers et investisseurs les effets dus aux variations économiques erratiques.
Chargé de recherche, Fondation pour les Etudes et Recherches sur le Développement International (FERDI); Chercheur associé au CERDI (UMR UCA-CNRS-IRD), Université Clermont Auvergne (UCA)