Des Palestiniens regardent la conférence de presse télévisée du président américain Donald Trump et du premier ministre israélien Benjamin Netanyahu le 28 janvier 2020, au camp de réfugiés de Khan Yunis, dans le sud de la bande de Gaza.
Sais Khatib/AFP
Le plan de règlement du conflit israélo-palestinien proposé par Donald Trump ne tient aucun compte du droit international et s’aligne totalement sur les positions du gouvernement Nétanyahou.
Des spécialistes de la communication agressive à l'emprise médiatique, Netanyahou emboite le pas à son ami Donald Trump. Jérusalem, 16 septembre 2019.
Ahmad Gharabli/AFP
Netanyaou a plus que jamais imposé un langage violent, agressif, cultivant le mensonge avec une parfaite désinvolture. Trump ? Oui, mais en plus méthodique.
Dans la ville de Beersheva, des bannières électorales font la promotion du Likoud et de Netanyahou, en russe et en hébreu, au 15 septembre 2019.
HAZEM BADER / AFP
Les immigrés et descendants d’immigrés résidents des villes périphériques parmi les plus pauvres de l’état sont les principaux supporters de la droite dure, et de Nétanyahou en particulier.
Foxtrot, de Samuel Maoz (2017), illustre le désemparement des troupes israéliennes devenues ‘troupes de sécurité’ vivant dans des huis clos angoissants.
Sophie Dulac Productions
Deux œuvres cinématographiques participent à la redéfinition de la représentation des forces armées en Israël, et à la mise en lumière des paradoxes politiques du pays.
Une caricature de Donald Trump et de la reine Elizabeth d'Angleterre, signé Dave Brown, dans le quotidien The Independent (juin 2019).
norbet1/Flickr
Le dessin de presse se joue dans un rapport triangulaire entre un dessinateur qui raconte, une cible objet de sa mise en dessein, un lecteur qui interprète et juge.
Benyamin Netanyahou, le 29 mai 2019, à la Knesset, après la décision de dissoudre l'Assemblée.
Menahem Kahana / AFP
Ce coup de théâtre est d’abord la conséquence d’un système de représentation proportionnelle quasi intégrale qui donne aux petits partis un pouvoir de blocage exorbitant.
Benny Gantz, le 1er avril 2019, à Tel Aviv.
Jack Guez/AFP
La campagne du candidat Gantz semble ainsi s’inscrire à la droite de Benyamin Nétanyahou, n’hésitant pas à mettre en avant les morts palestiniens comme preuve de la détermination de l’ancien général.
A Rio, le 28 octobre 2018, un partisan du nouveau président Jair Bolsonaro brandit un cercueil symbolique du Parti des Travailleurs.
Mauro Pimentel/ AFP
Michel Wieviorka, Fondation Maison des Sciences de l'Homme (FMSH)
La gauche est en perdition, si l’on en juge par les scores électoraux. Le phénomène est mondial, mais cela ne veut pas dire qu’il revête partout le même sens, ou les mêmes formes.
Le chancelier Kurz (à droite) et son vice-chancelier Heinz-Christian Strache, dirigeant du FPÖ (extrême droite).
Joe Klamar / AFP
Sebastian Kurz, qui appartient à une génération héritière du devoir de mémoire, veut en finir avec le sombre passé de son pays en nouant de véritables liens d’amitié avec Israël.
En tête de la « marche blanche » du 28 mars 2018, à Paris.
François Guillot/AFP
Michel Wieviorka, Fondation Maison des Sciences de l'Homme (FMSH)
La marche du 28 mars aurait pu être un superbe rassemblement, elle a été gâchée par ceux qui voudraient affirmer la consubstantialité nécessaire des juifs de France avec la politique israélienne.
Manifestation anti-Trump à Jérusalem-Est, le 11 décembre.
Ahmad Gharabli/AFP
Avec la reconnaissance de Jérusalem comme capitale d’Israël, Donald Trump persiste dans les décisions polémiques, en dépit des réticences d’une partie de son administration.
Dans un café à Jérusalem, le 6 décembre.
Ahmad Gharabli/AFP
Un siècle après la déclaration Balfour, qui concédait au mouvement sioniste la création d’un Foyer national juif en Palestine mandataire, où en est le sionisme ?
Dans la relation triangulaire Tel-Aviv-Riyad-Washington, qui a le plus besoin de qui ?
The White House/Wikimedia
Si les relations entre Israël et certains pays du Golfe s’améliorent, la normalisation des relations israélo-arabes reste lointaine. Riyad veut rester maître du jeu.
Des partisans de Marine Le Pen à Hénin-Beaumont, au soir du premier tour, le 23 avril 2017.
Joël Saget / AFP
Pour la première fois peut-être dans une élection présidentielle, la façon dont les candidats voient l’inscription de la France dans le monde pourrait être la variable déterminante à l’heure du choix.
Angela Merkel et Therea May, à La Vallette (Malte), le 3 février 2017.
Matthew Mirabelli / AFP
Des dirigeants dont la position est bien assise et qui inspirent la confiance sur leur vision stratégique parviennent mieux à réduire les doutes en cas de crise internationale.
Démonstration acrobatique de l'armée de l'Air, fin janvier 2017, à Riyad.
Fayez Nureldine/AFP
Fatiha Dazi-Héni, Institut de Recherche Stratégique de l’Ecole Militaire (IRSEM)
Riyad est le gardien de la citadelle assiégée et s’impose comme le garant du statu quo de régimes dynastiques sortis indemnes du « printemps arabe », en dépit des mobilisations populaires d’ampleur.
Jérusalem sur un papyrus vieux de 2 700 ans.
Shai Halevi/IAA
Le 26 octobre 2016, l’Autorité des Antiquités d’Israël présentait un papyrus vieux de 2700 ans mentionnant la ville de Jérusalem. Quels sont les enjeux d’une telle découverte ?
A Glasgow, le 17 août, lors du match contre Hapeol Beer-Sheva.
Leigh Blackall/Flickr
Drapeaux palestiniens dans les tribunes, de la droite extrême israélienne dans d’autres. Ce qui est considéré comme choquant par l’UEFA en dit long sur la dissymétrie de traitement politique.
La presse gratuite vue par Rémi Malingrëy.
Rémi Malingrëy
Doctorante associée à l'Institut de Recherche Stratégique de l'École Militaire en science politique et relations internationales (CMH EA 4232-UCA), Sciences Po
Chercheur sur la région Golfe- péninsule Arabique, enseignante Monde arabe (IEP de Lille)., Institut de Recherche Stratégique de l’Ecole Militaire (IRSEM)