La protection des forêts tropicales est souvent sacrifiée à l’inconstance des politiques agricoles, et à la difficulté de concilier leur préservation avec la croissance économique.
Cette élection aura un impact majeur sur les efforts déployés par le Canada pour lutter contre les changements climatiques. Mais quel parti choisiront les électeurs verts?
Les objectifs en matière de dette publique entravent les États face à une crise climatique qui exige désormais une réponse institutionnelle à l’échelle mondiale.
L’urgence climatique exige des institutions scientifiques une mobilisation totale. Mais leurs difficultés d’adaptation et le cloisonnement persistant entre disciplines freinent leur action.
Alors que la planète se dégrade, l’angoisse environnementale gagne du terrain, générant un mal-être d’un nouveau genre : l’éco-anxiété. Mais ce n’est peut-être pas une mauvaise nouvelle.
Les effets du changement climatique affecteront de manière disproportionnée les plus pauvres de la planète, mettant en danger la vie et la santé de millions de personnes, surtout dans les pays du Sud.
La majorité des Canadiens, tant dans les circonscriptions conservatrices que libérales, s'entendent pour dire que les changements climatiques constituent une menace majeure.
Contrairement à ce que l’on pourrait croire, les forêts de haute altitude connaissent elles aussi un risque accru d’incendies dans le contexte du changement climatique.
Les espèces des forêts tropicales n’ont pas évolué de concert avec le feu. Dans ces zones, même un incendie de faible intensité peut tuer la moitié des arbres.
Contrairement à ce qu’avance une étude qui a fait grand bruit cet été, planter un milliard d’hectares d'arbres ne suffira pas à contrer la hausse des températures.
Depuis des années, l’Europe freine des quatre fers devant l’instauration d'une taxation carbone, craignant pour sa compétitivité. Il y aurait pourtant des façons d’en limiter l’impact.
La décision d'Élections Canada d'empêcher les organismes de parler des changements climatiques pendant la campagne électorale est scandaleuse, selon l'ex-commissaire à l'environnement de l'Ontario.
Face à la multiplication des risques environnementaux, il est nécessaire d’introduire davantage de nature dans les villes pour tenter de les rendre plus résilientes.
Il y a un buzz autour du développement durable, mais les consommateurs ont encore du mal à développer de nouvelles habitudes. Voici comment changer cela.
Romain Julliard, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)
Face au déclin de nombreuses espèces ordinaires, les vacances sont l’occasion pour les citoyens de 7 à 77 ans de faire avancer la connaissance de la biodiversité… pour mieux la protéger.
Directrice de recherche CNRS, juriste, spécialiste du changement climatique et du droit de l’environnement et la santé, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne
Professeur en droit, Section de droit civil, Université d’Ottawa (Canada), membre du Conseil scientifique de la Fondation France Libertés, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa
Directeur de recherche CNRS, systématicien, directeur de l’Institut de systématique, évolution, biodiversité (ISYEB), Centre national de la recherche scientifique (CNRS)