Face à l’urgence climatique, le rôle de l’enseignement supérieur et notamment des écoles de commerce est fondamental. Mais ces établissements n’apparaissent pas aujourd’hui à la hauteur des enjeux.
En inscrivant leur ambition à atteindre la neutralité carbone dans un cadre législatif, la France et le Royaume-Uni se distinguent dans la lutte contre le changement climatique.
À mesure que les conditions climatiques se modifient, les plantes voient leur odeur altérée, avec des conséquences directes sur la pollinisation, notamment par les abeilles.
D’ici à 2100, en été, le nombre de jours de dégel va fortement augmenter en haute altitude. Ce qui est aujourd’hui une exception pourrait se produire un jour sur trois.
En absorbant du CO₂, l’océan limite l’augmentation de l’effet de serre. Mais au rythme actuel des émissions humaines, cette absorption entraîne une dangereuse acidification des eaux.
Cette question directe et efficace mérite qu'on s'y attarde afin de comprendre l'histoire du changement climatique et de trouver les solutions pour le contrer.
Une bonne gestion de l’eau, couplée à la végétalisation, aide les villes à résister aux dérèglements climatiques. À ce titre, une initiative australienne apporte des solutions concrètes inspirantes.
Le souci de la protection de l’environnement est présent dès le plus jeune âge. Les récents travaux des psychologues montrent comment le conserver pour faire face aux dérèglements climatiques.
Initié au printemps 2018, le Manifeste pour un réveil écologique rassemble des étudiants qui souhaitent initier des changements auprès des entreprises et des institutions.
Des citoyens se sont attelés à traduire en plusieurs langues le résumé pour les décideurs du dernier rapport du GIEC. L’objectif, rendre accessible un texte essentiel et pourtant très peu lu.
En marge des réponses technologiques et politiques, le changement des comportements est devenu un nouveau champ de solutions pour faire face aux dérèglements climatiques.
Les abeilles sont un bel exemple de la façon dont la biodiversité fournit gratuitement des services écosystémiques dont dépendent les humains. Si elles disparaissent, les conséquences seront importantes.
Face au changement climatique, les plus pauvres subissent les excès d’émissions de CO₂ liées au train de vie des plus riches : il est temps d’agir, au nom des justices climatique et sociale.
Alors même que l’avion est un mode de transport particulièrement polluant et réservé aux plus aisés, il bénéficie en France de nombreuses aides publiques destinées à développer le trafic aérien.
Si le transport aérien ne représente que 1,5 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre, ce chiffre sous-estime l’impact réel que peut avoir l’avion sur le réchauffement climatique.
Directrice de recherche CNRS, juriste, spécialiste du changement climatique et du droit de l’environnement et la santé, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne
Professeur en droit, Section de droit civil, Université d’Ottawa (Canada), membre du Conseil scientifique de la Fondation France Libertés, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa
Directeur de recherche CNRS, systématicien, directeur de l’Institut de systématique, évolution, biodiversité (ISYEB), Centre national de la recherche scientifique (CNRS)