Malgré l’obsession de la presse américaine pour l’« empire » Fox News, l’idée que la chaîne d’information exerce un pouvoir politique sans précédent aux États-Unis est excessive.
Viktor Orban et Matteo Salvini, à Milan, en août 2018.
Marco Bertorello / AFP
La puissance des populistes provient de leur capacité à imposer leurs thématiques, leur temporalité de l’urgence, la simplification de leurs argumentaires et leur mode d’agir.
Vote lors du second tour de l'élection présidentielle en France. Paris, le 6 mai 2007.
Wikimédia/Rama
Le vote blanc n'est toujours pas comptabilisé dans les suffrages exprimés alors que les citoyens sont de plus en plus nombreux à y recourir. Le Président Macron a pourtant exclut toute réforme.
Vladimir Zelenski au soir de sa victoire en Ukraine, le 21 avril, avec près des trois quarts des suffrages exprimés.
Genya Savilov / AFP
Vladimir Zelenski dispose de la force d'un succès électoral massif, rapide et incontestable. Mais il a, sur le long terme, la faiblesse d'un leader sans programme, sans équipe et sans idéologie.
Ekrem Imamoglu ,vainqueur de l'élection municipale d'Istanbul, salue la foule lors d'un rassemblement à Istanbul, le 15 avril 2019.
Yasin Akgul/AFP
Ekrem Imamoğlu, le principal candidat d’opposition à la mairie d’Istanbul, a été officiellement déclaré vainqueur le 17 avril 2019. Une défaite inquiétante pour le parti du président d’Erdogan.
Des électeurs quittent un bureau de vote dans la circonscription montréalaise de NDG-Westmount, lors du dernier scrutin fédéral, le 19 octobre 2015.
La Presse Canadienne/Graham Hughes
Lors des élections fédérales de 2015, le tiers des Canadiens n’ont pas voté. Or, la participation électorale est une mesure essentielle à la santé démocratique.
Un vendeur de cerf-volants s'est mis au rythme des élections législatives qui démarrent le 11 avril en Inde, ici à Bangalore.
MANJUNATH KIRAN / AFP
De nombreux hommes et femmes politiques pèsent sur l’équilibre de l’Union indienne et défient l’hégémonie politique et idéologique de Narendra Modi, premier ministre indien sortant. Qui sont-ils ?
Benny Gantz, le 1er avril 2019, à Tel Aviv.
Jack Guez/AFP
La campagne du candidat Gantz semble ainsi s’inscrire à la droite de Benyamin Nétanyahou, n’hésitant pas à mettre en avant les morts palestiniens comme preuve de la détermination de l’ancien général.
Une femme vote lors des municipales dans la ville à dominance kurde Diyarbakir le 31 mars.
Ilyas AKENGIN / AFP
Les Européennes n’échappent pas à la règle : rien n’est moins innocent politiquement que de fixer un seuil électoral, un dosage de proportionnalité, un nombre de sièges à pouvoir.
Session des questions à l'Assemblée nationale (ici le 20 mars 2019).
Bertrand Guay / AFP
La querelle autour de la proportionnelle est aussi ancienne que la République : les jugements positifs ou négatifs sont fonction des circonstances, des intérêts partisans et des positions idéologiques.
Le premier ministre Narendra Modi lors d'un événement politique dans l'état indien du Jammu et Cachemire, le 3 février 2019.
Rakesh Bakshi/AFP
À quatre semaines du premier tour du scrutin présidentiel, la tension est palpable est en Ukraine, enjeu d’une bataille feutrée entre Washington et Moscou.
A Dakar, le 28 février, des partisans du candidat Idrissa Seck (arrivé second) réclament un second tour.
Carmen Abd Ali / AFP
La démocratie sénégalaise est connue pour sa capacité à produire des alternances, qui nourrissent des récits parfois mythifiés. Mais cette prouesse ne se produit que sous certaines conditions.
Des étudiants devant l'École de médecine d'Alger, le 3 mars 2019.
Riyad Kramdi/AFP
Les manifestations en Algérie ont confirmé la détermination pacifique du peuple et ont été couronnées par l'annonce de Bouteflika qui renonce à un cinquième mandat.
A Chisinau, capitale de la Moldavie, le 24 février dernier.
Daniel Mihailescu/AFP
La Commission électorale avait trois ans pour se préparer. Le report du scrutin à quelques heures de sa tenue affaiblit un peu plus la confiance des Nigérians dans les processus électoraux.
Vue de l'hémicycle, le 29 janvier 2019.
Philippe Lopez / AFP
Pourquoi les deux présidents tiennent-ils autant à ce que leur statut soit reconnu comme «constitutionnel» alors que chacun s’accorde à dire que l’armée tient les rênes du pays?