Quelles sont les clés de résistance d’une organisation face à une crise ? Celles qui lui permettent de se réinventer ? Après la crise du coronavirus, regard sur le management des structures scolaires.
Alors que rouvrent les écoles, l’accueil des enfants atteints de maladies chroniques, ou souffrant de problèmes de santé mentale, a encore été peu abordé. Quelques points de repère.
À l’université, l’organisation de partiels à distance pose la question de leur équité et remet sous les feux des projecteurs un problème ancien, celui de la fraude aux examens. Eclairage historique.
Si la crise sanitaire a révélé la force de collectifs enseignants et invité à repenser la place des parents à l’école, elle soulève bien des questions sur les usages numériques et la forme scolaire.
Alexandre Lillo, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa e Thomas Burelli, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa
L’intégration du jeu dans les cours universitaires aide à surmonter les défis associés à l’enseignement en ligne, qui sera massivement adopté cet automne.
Avec la généralisation de l’enseignement à distance a surgi l’expression de « nation apprenante ». Et voilà qu’on nous parle d’un été « apprenant et culturel ». Que nous dit ce leitmotiv ?
Les travaux pratiques sont essentiels à l’enseignement des sciences. Mais les mesures sanitaires compromettent leur organisation classique. Voici quelques solutions qui changent la donne.
La crise a accéléré la mise à distance des salariés ou encore de creusement des inégalités. La croissance verte ouvrirait la voie à une démocratisation des organisations qui limiterait ces tendances.
En confinement, la continuité pédagogique a fait surgir certains écueils dont il convient de prendre compte pour avancer dans la mise en place d’une formation à distance réellement efficace.
Comment éduquer dans un contexte d’incertitude généralisée ? Comment armer les enfants face aux défis futurs ? La question se pose après les deux chocs que nous venons de subir.
Des applis de révisions scolaires aux formations professionnelles en ligne, le marché des EdTech est dynamique, mais encore modeste en France. Suite au confinement, peut-il changer d’échelle ?
Dans cette période de crise, où les universités doivent réinventer leurs examens à distance, retour sur les différents formats en vogue et ce que la recherche nous dit de leur efficacité.
Jocelyn Lachance, Université de Pau et des pays de l'Adour (UPPA)
En temps « normal », les parents éprouvent déjà des difficultés à gérer les usages des écrans. Quelles évolutions alors que le télétravail et les relations sociales virtuelles se généralisent ?
Les écoles sont fermées mais les cours continuent, assure le ministère de l’Éducation. Pour maintenir le lien avec les familles, il compte sur Internet, mais investit aussi des médias plus anciens.
Très tôt, les enfants activent un certain nombre de critères pour juger la fiabilité des informations qu’on leur transmet. Des compétences qui doivent être affinées, notamment grâce aux sciences.
Les initiatives gouvernementales pour assurer le maintien des apprentissages ne sauraient être efficaces sans la mise à profit d’une ressource éducative inestimable : l’expertise des enseignants.
Il existe déjà un écart dans les performances scolaires selon les milieux sociaux des élèves. Il y a de nombreuses raisons de prédire que la situation de confinement va très vite l’accentuer.
Avec l’épidémie de Covid-19, les écoles et universités réorganisent leurs cours en ligne. Mais comment maintenir l’interactivité à distance ? Enseignements d’une étude menée en septembre 2019.
Professeur des Universités en Biochimie, Chef du département Génie Biologique de l'IUT Sénart-Fontainebleau; Président de PROMOSCIENCES, Université Paris-Est Créteil Val de Marne (UPEC)