Cette crise sanitaire peut d’abord être comprise comme une crise de politique publique
Lorsqu'il choisit de créer un compte pour accéder au contenu d'un site, le consommateur doit donner son consentement. Or souvent, il clique sur «j'accepte» sans se soucier des répercussions.
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Alors que l’ère industrielle plaçait le capital (et principalement l’argent) au centre de toute transaction, l’ère du numérique favorise l’information comme source de liquidité.
L’industrie automobile fait partie des secteurs les plus gravement menacés par la crise.
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Dans ce contexte, la loi Pacte et la définition d’une « raison d’être » se révèlent peu efficaces pour éclairer la prise de décision des dirigeants.
Transposer des méthodes propres au design permet de résoudre des problèmes complexes en matière technique et fonctionnelle, mais aussi humaine et sociétale.
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De plus en plus considéré comme un moteur d’innovation et une source de profits, ce processus devient progressivement un modèle de management en tant que tel.
L'accessibilité numérique et la sensibilisation au handicap restent des problématiques mal considérées dans les entreprises aujourd'hui.
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Le travail à distance mais aussi l’essor des méthodes collaboratives renforcent les inégalités, comme l’illustre le cas de Sylvain, informaticien et déficient visuel.
Le recrutement et la fidélisation des aides-soignants figurent parmi les enjeux principaux des managers des structures de santé.
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La crise sanitaire a révélé au grand jour les conditions de travail difficiles au sein de ces établissements soumis à des normes de management visant la standardisation et la performance.
La diversité d’âge s’avère pourtant bénéfique, notamment pour accompagner les transformations numériques au sein des entreprises.
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Selon le dernier baromètre de Burgundy School of Business, autant de femmes que d’hommes ont été nommées lors des assemblées générales 2020, mais la moyenne d’âge reste élevée.
Le contexte pandémique est mondial et le télétravail, qui apparaissait impossible pour certaines organisations a été instauré à l’intérieur de trois jours.
Les travaux de l’économiste américain ont servi à démontrer la supériorité de la firme sur le marché en matière de création de valeur compte tenu de l’existence de coûts de transaction.
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Le prix « Nobel » d’économie 2009, décédé en mai dernier, a notamment proposé des outils d’arbitrage entre la sous-traitance des activités (le marché) et leur réalisation en interne (l’entreprise).
En général, les gestionnaires ne sont pas des spécialistes de la gestion de crise. Et devant la pandémie de Covid-19, il y a de quoi en perdre son latin.
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Les risques d’importance majeure, mais dont l’occurrence est faible devraient faire partie de la gestion de risque. En pratique, ce n’est que trop rarement le cas.
Parmi les travailleurs autonomes 83 % sont satisfaits, voire très satisfaits à l’égard du télétravail.
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Dans une étude, près de 4 répondants sur 5 tirent un bilan plutôt positif de la période malgré les conditions difficiles.
Avec le confinement de la moitié de la population mondiale, le secteur aérien a vécu une crise inédite à laquelle il aurait difficilement pu se préparer.
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Les organisations se caractérisent par leurs difficultés à changer, tandis que les outils stratégiques postulent la continuité.
Pour remplir leurs objectifs commerciaux, les banquiers ont tendance à octroyer plus de prêts à l’approche des clôtures comptables.
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L’ajustement des ratios comme l’EBIDTA, nécessite une information financière saine et transparente, en précisant aux banquiers et investisseurs les effets dus aux variations économiques erratiques.
Les analogies animalières nous renseignent sur les dérives et excès possibles de certains systèmes de gestion.
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La « ville intelligente » accueille capteurs et collecte de données et porte des enjeux éminemment politiques.
La charge est lourde pour les entrepreneurs qui ont des décisions difficiles à prendre pour planifier la relance progressive de leurs activités. Plusieurs se sentent seuls et démunis.
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Même si la relance est envisagée, la pandémie n’est pas terminée. Pour les entrepreneurs, le moment est propice à l’évaluation des forces et des manques au sein de leur équipe de gouvernance.
L’absentéisme, les accidents du travail ou les défauts de qualité sont autant de coûts difficiles à prendre en compte pour les dirigeants des PME.
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Les « problèmes pernicieux » placent les autorités face à un défi organisationnel où la notion de réseau prime sur la hiérarchie descendante.
Emmanuel Macron en conférence virtuelle avec des représentants du Conseil de l'Europe à Paris le 26 mars pour discuter de la coordination de l'UE dans le contexte de pandémie de Covid-19.
La gestion de la pandémie par le gouvernement Macron pourrait donner lieu à de nouvelles formes de gouvernances plus autoritaires fondées sur le rejet de la démocratie représentative ordinaire.
Professeur d'économie et de management, Directeur de la Recherche de l’IRIMA, Membre de la Chaire Mindfulness, Bien-Etre au travail et Paix Economique, Grenoble École de Management (GEM)