Pendant longtemps, la Chine a importé les déchets plastiques des pays développés. Mais la « poubelle du monde » ne veut plus l’être. Qu’allons-nous faire de ces matériaux usagés ?
Depuis 2016, des scientifiques embarqués à bord de la goélette Tara sillonnent le Pacifique pour surveiller l’état des récifs coralliens gravement menacés par le réchauffement climatique.
Sculpture réalisée à base d'éléments en plastique, à Helsingør, Hovedstaden au Danemark. Malene Møh.
erik forsberg/flickr
Matthew Savoca, National Oceanic and Atmospheric Administration
La mer de plastique dans laquelle nagent les poissons n’est pas seulement une catastrophe écologique. Elle met en danger des espèces comme les anchois qui prennent ces débris pour de la nourriture.
Le navire Plancius, utilisé pour des croisières en Arctique et en Antarctique.
Pixabay
De par le monde, la croisière attire de nombreux touristes. Pour les plus privilégiés, qui souhaitent se distinguer, le pôle Nord devient un lieu de choix… d’autant plus que la banquise fond.
Le brise-glace et garde-côte canadien Louis Saint-Laurent, lors d'une navigation dans l'Arctique (2014).
U.S. Navy/John F. Williams/Office of Naval Research/Flickr
Dans l’Arctique, le passage le long des côtes russes offre un raccourci intéressant pour le transport maritime. Mais la glace et ses dangers pour la navigation limitent son développement.
Marine Potet, « Moules en eaux troubles».
Peb&Fox/Université de Lorraine
Pour le concours « Ma thèse en 180 secondes 2017 », l’Université de Lorraine propose une version BD des travaux de ses 11 finalistes. Voici « Moules en eaux troubles » par Marine Potet.
Un amas de bactéries Escherichia Coli grossi 10,000 fois.
Eric Erbe/wikipedia
Les microbes sont les grands architectes de l’univers… Extrait de « Jamais seul. Ces microbes qui construisent les plantes, les animaux et les civilisations », à paraître aux éditions Actes Sud.
Puits de carbone, sources d’oxygène, mais aussi potentielles sources d’énergie renouvelable… Les micro-algues ont de nombreux mérites et pourraient nous aider à préserver la planète.
Explorations pétrolières, navigation, éolien offshore… Le monde sous-marin est devenu terriblement bruyant, une situation inédite qui fait peser de nombreuses menaces sur la faune marine.
Dans les eaux, le plastique se transforme mais ne disparaît pas.
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La présence de matières plastiques dans les océans constitue un problème environnemental majeur. Les initiatives se multiplient pour lutter contre ce phénomène.
Échouage en masse de gobicéphales sur une plage de Nouvelle-Zélande, le 11 février 2017.
Marty Melville/AFP
Erreurs de navigation, perturbations humaines, comportement de groupe… Les causes sont multiples pour rendre compte du mystère de ces échouages de baleines et de dauphins sur les rivages.
Pour s’adapter aux changements climatiques à venir, des prévisions plus fines que les projections basées sur le seul effet des émissions générées par l’homme, sont aujourd’hui nécessaires.
Jean-Paul Moatti, Institut de recherche pour le développement (IRD) e Stéphanie Thiébault, Centre national de la recherche scientifique (CNRS)
Véritable « laboratoire » pour observer les effets des changements climatiques, la situation de la Méditerranée fait l’objet d’une impressionnante synthèse scientifique qui vient de paraître.
Des pélicans bruns victimes de la marée noire provoquée par le naufrage de la plateforme pétrolière Deepwater Horizon en 2010.
Saul Loeb/AFP
À l’occasion de la sortie de « Deepwater Horizon », qui revient sur le naufrage de la plateforme pétrolière de BP dans le Golfe du Mexique, où en est la réglementation des activités offshore ?
L’augmentation de la température des eaux provoque le blanchissement du corail.
Coral Guardian
Les récifs coralliens abritent des milliers d’espèces, sont essentiels à des millions d’humains, mais subissent de graves menaces. De récentes études se penchent sur les conditions de leur survie.
La Nouvelle-Orléans pourrait être impactée par l'ouragan Ida.
Patrick T. Fallon / AFP
Frédéric Bertucci, Centre national de la recherche scientifique (CNRS)
Le monde sous-marin est tout sauf silencieux et en tendant bien l’oreille, comme l’ont fait une équipe de chercheurs en Polynésie française, on peut même évaluer la bonne santé des écosystèmes.