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Expliquer pour mieux agir

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Devant le centre commercial Olympia, à Munich, le 25 juillet. Christof Stache/AFP

Terrorisme, guerre, les dangers de l’amalgame

Le recours systématique et répété aux expressions de « terrorisme » et de « guerre » interdit la prise en compte de la complexité et de la diversité des problèmes, et fait le lit de l’autoritarisme.
Réticent mais affaibli, François Hollande (ici à Colombey-les-Deux églises, le 18 juin), a dû accepter l'organisation d'une primaire à gauche. Thibault Camus / POOL / AFP

Primaire, soyons constructifs !

Après avoir récusé l’idée d’une primaire, le camp présidentiel vient de s’y rallier. Sa réussite passe par la participation de toutes les gauches, et au-delà de leurs sympathisants.
Une voiture de police incendiée par des casseurs à Paris, le 18 mai 2016. Cyrielle Sicard/AFP

Comprendre et aborder la violence aujourd’hui

Dans les rues, devant les lycées ou les raffineries, la tension monte partout. Pour éviter l’amalgame et les raisonnement simplistes, les sciences sociales apportent un précieux concours.
Des militants de Nuit debout aux côtés des intermittents du spectacle au théâtre de l’Odéon, à Paris, le 25 avril. Philippe Lopez/AFP

Une gauche se meurt, vive la gauche !

Manuel Valls a parlé de deux gauches « irréconciliables » : il y a surtout un espace fracturé, dans lequel le débat citoyen se retrouve sans lien avec la vie partisane.
Manifestation à Paris en mai 2013. Philippe Leroyer/Flickr

Les partis, de la crise au déclin ?

En Europe, comme aux États-Unis, les partis traditionnels sont en crise. Une crise qui risque de se transformer en déclin s’ils ne parviennent pas à se renouveler d’urgence, et en profondeur.
Les candidats à la primaire socialiste en août 2011. Webstern Socialiste/Flickr

Le lieu géométrique de la gauche

Pour permettre à l’idée de gauche de se reconstruire et de s’incarner, il faut promouvoir le débat et organiser une primaire plutôt que de se soumettre au bon vouloir du pouvoir.
Campagne des régionales, décembre 2015. Sébastien Bozon / AFP

Le tripartisme, et après ?

Sans réformes institutionnelles en profondeur, la crise actuelle ne pourra que s’approfondir, rendant difficile toute idée de reconstruction du système politique.