Pourquoi quitter une zone stable, qui permet d’avoir une croissance économique soutenue avoisinant les 7 %, au moment où l’Afrique affiche son taux de croissance le plus faible depuis 25 ans (1,6 %) ?
Ce mouvement est-il un épiphénomène lié à la colère contre l’arrogance du pouvoir ou correspond-il à une réplique dans un contexte économique et social plus fragile que lors des « printemps arabes » ?
À un an de la prochaine élection présidentielle, l’Argentine s’enlise à nouveau dans la crise. L’explication ? Aucune réforme structurelle n’a été mise en place depuis le début des années 1990.
Le Brésil et l’Argentine ont réussi à sortir de l’hyperinflation dans les années 90. Mais le Venezuela, qui n’a ni réserve en dollars ni confiance des marchés, ne pourra pas suivre la même voie.
Le petro, un crypto-actif créé par le Venezuela, vise à contourner les sanctions américaines et à stabiliser la situation monétaire du pays. Il est peu probable qu’il atteigne ces objectifs.
Les principales tendances de l’étude annuelle sur l’économie mondiale produite par le CEPII. Pour la première fois depuis la crise de 2008 plusieurs clignotants sont passés au vert. Synthèse.
Alors que l’on s’attend à une hausse des taux d’intérêt, où en est la conjoncture américaine ? Une croissance fragile et une économie profondément transformée rendent délicates les anticipations.
Inflation zéro, taux d’intérêt zéro… et croissance zéro. La situation actuelle qui remet en cause les indicateurs habituels, annonce-t-elle un changement de modèle ?