La vague de froid de début avril a touché une immense majorité de viticulteurs non assurés contre ce risque climatique. Dans ce contexte, de nouveaux produits pourraient voir le jour.
Joël Guiot, Aix-Marseille Université (AMU) and Wolfgang Cramer, Centre national de la recherche scientifique (CNRS)
La région, par sa biodiversité, son climat, sa démographie et ses activités économiques et touristiques, est particulièrement vulnérable aux risques environnementaux.
Le séisme du Teil a montré que les ruptures sismiques peuvent atteindre la surface en France métropolitaine. Le risque sismique doit être réévalué, notamment à proximité d’infrastructures sensibles.
Thierry Lebel, Institut de recherche pour le développement (IRD); Gérémy Panthou, Université Grenoble Alpes (UGA), and Théo Vischel, Université Grenoble Alpes (UGA)
Du Sahel à la Somalie, l’Afrique est touchée par des inondations exceptionnelles, qui mêlent des facteurs conjoncturels et des tendances de long terme.
Le reboisement, auquel 200 millions d’euros du plan de relance seront dédiés, se heurte aujourd’hui à des limites économiques, techniques et sociologiques.
A partir du 1er juillet 2020, l’exposition « Pompéi », au Grand Palais, propulse ses visiteurs au milieu de la vie trépidante de l'antique cité ensevelie sous les cendres du Vésuve, en 79 apr. J.-C.
L’alerte, lancée sur les réseaux sociaux, a révélé l’incurie de l’État et de l’entreprise, et suscité une attention médiatique nouvelle pour les menaces écologiques qui pèsent sur le Grand Nord.
Prévenir à l’avance de l’arrivée d’un séisme ou d’un tsunami peut permettre de se mettre à l’abri et d’organiser les secours. Comment détecte-t-on rapidement ces évènements si imprévisibles ?
Réseaux sociaux et influenceurs, « storytelling », salons dédiés… l’essor du mouvement repose sur certaines pratiques loin d’apparaître comme hors système.
La crise sanitaire, mais aussi la perspective d’une instabilité climatique accrue, ouvrent la voie à ces titres de dette commune qui divisent l’Union européenne depuis plus de 25 ans.
La philanthropie sous forme de don en argent n'est pas une solution aux catastrophes naturelles causées les changements climatiques. Il faut une nouvelle philanthropie du changement social.
Derrière l’incitation à s’adapter aux catastrophes naturelles existe le risque d’utiliser ces événements comme un outil de réorganisation sociale au profit des plus aisés.
Directeur de recherche CNRS, systématicien, directeur de l’Institut de systématique, évolution, biodiversité (ISYEB), Centre national de la recherche scientifique (CNRS)
Chercheuse en sciences du climat, ancienne coprésidente du groupe de travail I du GIEC (2015-2023), directrice de recherche CEA au Laboratoire des Sciences du Climat et de l'Environnement / Institut Pierre Simon Laplace, Paris-Saclay, Université Paris-Saclay