Un produit révolutionnaire, un conseil d’administration prestigieux, une fondatrice de charme : la start-up a rapidement séduit les investisseurs. Mais l’histoire était trop belle pour être vraie…
On sait aujourd'hui que pratiquer une activité physique est un bon moyen de limiter les risques de maladies cardiovasculaires.
Shutterstock
Manger mieux, bouger plus, ne pas fumer… Les recommandations pour éviter les maladies cardiovasculaires semblent évidentes. Pourtant, les facteurs de risque n’ont été identifiés que très récemment.
Avez-vous vraiment besoin de cette nouvelle chemise ?
Rawpixel/Unsplash
Dans de nombreux cas, après une gastro les gens sont encore contagieux une fois retournés au travail ou à l’école. Mais il existe des moyens simples de protéger les autres.
Un dirigeant sur quatre estime être constamment sous pression.
Areebarbar/Shutterstock
On prête moult vertus à la méditation de pleine conscience, parfois sans base scientifique. Pour ce qui est d’améliorer la concentration ou la mémoire de travail, la science a parlé : elle valide.
Défaillances de coordination entre soignants ou défauts d'orientation des patients se traduisent parfois par des actes médicaux inutiles.
Shutterstock
Etienne Minvielle, École des hautes études en santé publique (EHESP)
Réduire les actes médicaux inutiles rendrait le système de santé français plus efficace. Ce n’est pas impossible, mais requiert une meilleure organisation dans la prise en charge des patients.
Le financement au parcours de soin pourrait être à double tranchant.
Shutterstock
Le dernier Plan Santé propose un financement au parcours de soin des hôpitaux français. Inspiré, comme pour la T2A, par le modèle anglo-saxon, ce système, malgré ses vertus, reste très productiviste
Les entreprises vont devoir tenir compte des effets de l'usage des technologies sur la santé de leurs collaborateurs.
Wavebreakmedia / Shutterstock
Dans les entreprises, les pratiques ont commencé à évoluer. Mais déjà, de nouveaux enjeux apparaissent : effets du digital sur la santé, partage de la valeur, et même… excès de bien-être au travail.
La suppression du numerus clausus doit s'accompagner de mesures incitant les médecins à repeupler les déserts médicaux.
Guillaume Souvant / AFP
La mort annoncée du numerus clausus dans le cadre du Plan Santé ne suffira pas à faire reculer les déserts médicaux. Comment valoriser au mieux la ressource que représentent les médecins ?
En zone rurale, difficile de trouver du personnel médical.
Shutterstock
Thomas Barnay, Université Paris-Est Créteil Val de Marne (UPEC)
La résorption des déserts médicaux est un enjeu de santé publique majeur. Le plan santé du gouvernement propose de nouveaux outils pour y parvenir. Une réforme qui va dans le bon sens ?
Ce qui permet d’augmenter le bien-être des uns ne fonctionne pas forcément pour les autres.
Bewakoof / unsplash
Le lien entre bien-être et personnalité est complexe, mais contrairement à ce que suggéraient les recherches précédentes, il ne suffit pas de se comporter de façon extravertie pour se sentir mieux.
La dépendance aux antidouleurs opioïdes touche toutes les catégories socio-économiques.
Issam Hammoudi / Unsplash
Prévenir les risques d’addiction et d’overdose associés aux antidouleurs opioïdes en conservant un accès large à ces médicaments est un défi de santé publique dont il faut se préoccuper immédiatement.
Le changement climatique menace aussi notre santé mentale. Pour combattre la hausse des suicides résultant de l’augmentation des températures, la solution pourrait être de créer du lien social.
Les médecins français prescriront peut-être un jour le cannabis comme d'autres antidouleurs. Reste à savoir sous quelle forme.
Shutterstock
En annonçant la création d’un groupe de travail sur l’usage médical du cannabis, l’ANSM lance officiellement la réflexion sur le sujet en France. Première indication possible : la douleur chronique.
Certains microbes qui survivent à l'acidité de l'estomac s'installent dans notre colon. D'autres, non.
Shutterstock
De nombreux probiotiques ne parviennent pas à coloniser l’intestin. Mais cela ne signifie pas pour autant qu’ils n’ont pas d’effets bénéfiques sur notre santé.
En 2017, dans une école municipale de Bordeaux. Pour la rentrée 2018, les assiettes en plastique ont été remplacées par de nouvelles en verre trempé.
Georges Gobet/AFP
Jérôme Santolini, Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA)
Au sein du collectif « Cantine sans plastique », des parents d’élèves se mobilisent pour alerter sur le danger de substances contenues dans la vaisselle et les ustensiles de restauration scolaire.
Difficile de rattraper le sommeil en retard…
Shutterstock
Il nous arrive à tous de rogner sur notre temps de sommeil, en nous disant que nous le rattraperons plus tard. Mais les grasses matinées du week-end compensent-elles les nuits blanches de la semaine ?
La santé sexuelle selon l'OMS recouvre également une notion de bien-être.
Shutterstock
David Simard, Université Paris-Est Créteil Val de Marne (UPEC)
Pour l'OMS, la santé sexuelle n'est pas juste une absence de maladie, mais implique aussi une notion de bien-être. Cette définition introduit un jugement de valeur, ce qui peut s'avérer problématique.
Nanoparticules d'oxyde de titane sur une surface en acier.
Iuliia Karlagina/Wikimedia
Les nanoparticules d’oxyde de métal sont couramment utilisées dans les aliments, leurs emballages, les crèmes solaires, les dentifrices et les médicaments. Elles ne sont pas exemptes de risques.
Professeur des universités, médecin hospitalier, Inserm 1107, CHU Clermont-Ferrand, Président de la Fondation Institut Analgesia, Université Clermont Auvergne (UCA)
Psychiatre du sujet âgé, chercheur associé au Laboratoire interdisciplinaire d'étude du politique Hannah Arendt (Université Paris-Est Créteil), co-directeur du département de recherche Éthique biomédicale du Collège des Bernardins, Université Paris-Est Créteil Val de Marne (UPEC)
Professeur Emérite de Nutrition Université Sorbonne Paris Nord (Paris 13) - Praticien Hospitalier Département de Santé Publique, Hôpital Avicenne (AP-HP), Equipe de Recherche en Epidémiologie Nutritionnelle, U1153 Inserm,Inra,Cnam, Université Sorbonne Paris Nord
Maitre de Conférence Université Paris 13, Praticien Hospitalier, Hôpital Avicenne (AP-HP), Equipe de Recherche en Epidémiologie Nutritionnelle, U1153 Inserm,Inra,Cnam, Université Sorbonne Paris Nord