Peu coûteux, renouvelable, le chauffage au bois est de plus en plus plébiscité, et même subventionné. Mais sa généralisation n’est pas sans risque : émissions de particules fines et effets rebond.
De nombreux économistes ont étudié le lien entre niveau du thermomètre et satisfaction. Sans surprise, leurs études concluent sur une préférence pour des hivers cléments et des étés pas trop chauds.
Selon un projet de recherche, ceux qui déclarent préférer le confort thermique plutôt que de réaliser des économies d’énergie gagnent 7 965 euros de plus par an que la moyenne des ménages.
Introduite dans la loi en 2010, la précarité énergétique demeure mal comprise car difficile à évaluer, ce qui questionne la pertinence des politiques publiques qui la prennent en charge.
Le gouvernement a fixé un objectif de rénovation thermique et environnementale de 500 000 logements par an. Mais l’intérêt de cette rénovation est soumis à de nombreux critères.
Nathalie Redon, IMT Nord Europe – Institut Mines-Télécom
En ville, l’utilisation de petits appareils permettant de mesurer la présence de particules fines dans l’air se généralise. Une arme de plus pour lutter contre la pollution de l’air.
Lille, Lyon, Grenoble, Paris… Les grandes villes françaises ont connu ces derniers mois de sévères pics de pollution. Comment est évaluée cette menace pour la santé et l’environnement ?