Christian Mouhanna, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay
Les directives données pour contrôler la population en temps de pandémie illustrent parfaitement la manière dont la police est désormais utilisée pour répondre à tout, et dans l’improvisation.
Comment faire pour que la sanction ne soit pas seulement une parenthèse dans le processus éducatif, mais qu’elle y contribue pleinement ? Quelques éclairages historiques et perspectives.
Mes recherches en Chine et au sein de la communauté ouïghoure m’ont permis d’observer comment l’usage de la technologie, au début libérateur, est peu à peu devenu une contrainte pour cette minorité.
La chute en bourse de l’action de la banque Natixis, en raison d’anomalies relevées dans son hedge fund londonien H2O, révèle, entre autres, une défaillance des mécanismes de contrôle.
L’architecture des innovations financières et le comportement des emprunteurs ont limité les effets en matière de lutte contre la pauvreté. Mais des voies d’amélioration existent.
Les étonnantes propriétés de la matière à l’échelle nanométrique ouvrent des voies pour les thérapies et les médicaments. Mais les nanoparticules ne sont pas encore certifiées.
Pourquoi la démarche qualité ne s’appliquerait-elle pas aux formations en langues qui constituent un atout pour l’internationalisation des formations et l’insertion professionnelle ?
L’obsession de la surveillance et du contrôle des usagers français se fait au mépris de la Déclaration des droits fondamentaux numériques de l’Union européenne.
Cette affaire est banale : elle traduit la perte de vigilance d’une organisation et ses dérives. Elle montre aussi qu’une catastrophe a toujours plusieurs causes et plusieurs responsables.
Que sait-on des dispositifs de contrôle et de sanctions ? Quelle est leur efficacité sur l’accès à l’emploi ? Quelles sont leurs conséquences, voulues ou non ? Finalement, quelle est leur légitimité ?
Chercheur au CNRS, directeur du Centre de recherches sociologiques sur le droit et les institutions pénales (CESDIP), Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay