Les chefs d’État et de gouvernement des Vingt-Sept ont opté pour une extension « flexible » jusqu’au 31 octobre 2019, qui s’articule autour de deux dates et repose sur deux principes fondamentaux.
La biographie de Samuel Courtauld reste largement méconnue ; ce grand collectionneur fut l’ami de l’économiste John Maynard Keynes mais aussi de son épouse, Lydia Lopokova.
Le Brexit représente une épreuve d’Hercule pour la démocratie britannique, qui doit vivre avec la concurrence de deux souverainetés : celle du Parlement et celle du peuple.
Tout reste encore envisageable, mais c’est au Royaume-Uni qu’il revient de prendre une décision avant le 12 avril, et d’endosser enfin la responsabilité de ses choix, quels qu’ils soient.
La sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne aura un impact significatif sur les chaînes de valeur en Europe. La France devrait être davantage concernée que ses voisins.
Première dans l’Histoire, la présidence jumelée de la France et l’Allemagne du Conseil de sécurité des Nations unies a démarré le 1ᵉʳ mars. Une des rares conséquences positives du Brexit pour l’UE ?
Diana Cooper-Richet, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay
Les conditions que connaissent des milliers d’enfants africains exploités dans les mines n’ont rien à envier à celles des tout jeunes ouvriers des pays industrialisés au XIXᵉ siècle.
L’espion russe Sergueï Viktorovitch Skripal et sa fille Ioula ont été victimes d’un poison violent, le Novitchok, développé par l’URSS, puis par la Russie. Que sait-on de cette arme chimique ?
Diana Cooper-Richet, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay
Si la pollution est devenue un enjeu conscient il y a quelques décennies seulement, ses conséquences sur les villes étaient déjà perçues pendant la révolution industrielle.
Les dommages causés aux universités britanniques ne bénéficieraient pas nécessairement à d’autres universités du continent, comme certains le pensent à tort.
Des économistes du CEPII estiment qu’en cas de non-accord, les PIB du Royaume-Uni et de l’Union européenne pourraient respectivement reculer de 2,8 % et 0,8 %.
Les observations d’un spécialiste de la littérature anglaise à propos de ce qui a conduit le Royaume-Uni à vouloir rompre les amarres, de manière sans doute irrévocable.
Au départ de l’intrigue du film de 1964, l’envol d’un cerf-volant, que l'on retrouve dans la version 2018. Avec une constante : le placement de produit, en l'occurrence le « Times », journal mythique.
Le couple franco-allemand met de côté l’objectif de contraindre les opérations les plus court-termistes pour tenter d’emporter l’adhésion des pays membres les plus réticents.
Peu réaliste sur le plan opérationnel et institutionnel, cette idée a le mérite d’exprimer une communauté de destin partagée par les Européens face à un monde multipolaire et incertain.
Chercheur au Centre d’histoire culturelle des sociétés contemporaines, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay