La réglementation européenne exige que les bouchons en plastique des bouteilles et briques de boisson soient attachés au contenant pour faciliter leur recyclage. Qu’en pense le consommateur ?
Les évolutions règlementaires visant à réduire les emballages imposent aux enseignes des nouveaux défis en termes d'aménagement des points de vente ou encore de communication sur les produits.
Face aux exigences environnementales, les prestataires de services de transports, d’emballage et de stockage adoptent de nouvelles pratiques qui varient toutefois selon la taille de l’entreprise.
Ce qui peut ne paraître qu’un simple détail esthétique pour les adultes joue un rôle essentiel chez les plus jeunes dans la mémorisation et la reconnaissance d’une marque.
La Commission européenne examine actuellement un projet d’amendement qui interdirait aux producteurs de lait d’avoine ou de soja de faire référence à des produits laitiers sur les briques et les pots.
Soumis à de nouvelles contraintes, le plastique constitue un défi de taille pour les industriels. Pour lutter contre le suremballage, le recyclage ne suffit pas.
Depuis dix ans, la collecte et le traitement des déchets ont évolué favorablement. Mais l’éco-conception, qui consiste à élaborer des produits plus durables et recyclables, peine encore à s’imposer.
Les aliments ultra-transformés sont de plus en plus consommés dans les régimes alimentaires occidentaux. Cette consommation est-elle associée à un risque accru de cancer ?
Payer pour la gestion de ses déchets en fonction de la quantité de déchets que l’on produit, c’est le principe de la tarification incitative, un dispositif en cours de déploiement en France.
Le tri de nos déchets reste un geste précieux, mais ne nous laissons pas aveugler par le mirage du tout-recyclage, qui ne peut résoudre le gros problème de gestion des déchets plastiques.
Des millions de tubes ou de pots entourés de carton et de plastique… Le suremballage constitue une importante source de déchets qui peut être aisément réduite.
Les emballages plastiques sont régulièrement mis en cause pour leurs impacts néfastes sur la santé et l’environnement. Des innovations plus respectueuses offrent cependant de réelles alternatives.
Professeur Emérite de Nutrition Université Sorbonne Paris Nord (Paris 13) - Praticien Hospitalier Département de Santé Publique, Hôpital Avicenne (AP-HP), Equipe de Recherche en Epidémiologie Nutritionnelle, U1153 Inserm,Inra,Cnam, Université Sorbonne Paris Nord