Les professionnels du marketing doivent être vigilants quant aux formats publicitaires utilisés et apporter aux consommateurs des bénéfices afin de ne pas susciter de rejet.
Loin de vieillir l’image des marques, les personnes âgées génèrent un phénomène d’identification positive qui renforce l’intérêt et la confiance du consommateur.
Pendant le confinement, de nombreux annonceurs ont déserté les écrans malgré des audiences records. Leur retour à partir du 11 mai révèle des stratégies qui pourraient mettre en péril leur réputation.
Les paroles s’envolent, les petites phrases restent. Avec la pandémie s’est mise en place une communication de crise. Comment les petites phrases s’invitent-elles dans la crise ?
Apple, Google et consorts l’ont bien compris : multiplier les modèles d’affaires est devenu indispensable pour survivre dans l’économie numérique. Et si la PQR s’en inspirait ?
Les consommateurs se montrent particulièrement sensibles aux personnages ou encore à la vraisemblance de l’histoire racontée par une marque pour capter leur attention.
Au vu du climat de polarisation politique ambiant, est-ce un jeu dangereux pour les entreprises de cibler les consommateurs en s’appuyant sur leurs convictions ?
Les smartphones sont devenus un point de collecte majeur de données personnelles. Qui ces données intéressent-elles ? L’utilisateur peut-il contrôler ce flux d’informations ?
Les publicités pour les bières cherchent généralement à instaurer une représentation forte de la marque en un seul mot. Une stratégie à double tranchant, comme l’illustrent les déboires de Corona.
Mathieu Jahnich, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay
Les injonctions à consommer de la publicité apparaissent de plus en plus en contradiction avec les enjeux environnementaux. Dans ce contexte, la régulation de la publicité doit évoluer.
Des épisodes courts diffusés sur le web destinés à promouvoir une marque sans que cela ressemble à des spots publicitaires, voici la recette gagnante de la websérie de marque.
Pour optimiser leur stratégie de communication, les marques doivent cibler leurs relais sur les réseaux sociaux en fonction du type de produit sur lequel elles communiquent.
Lorsque la Coca-Cola Company s’empare de l’imaginaire de Santa Claus dans les années 30 sur fond de crise économique, elle signe le début d’un fort storytelling de marque qui repose sur l’ellipse.
Des associations ou des marques prennent le contre-pied des enseignes qui proposent des promotions le 29 novembre pour dénoncer une « journée infernale de surconsommation ».
Les entreprises du net comme Facebook ou Twitter devraient être tenues responsables de la manière dont elles vérifient la fiabilité des informations qu’elles diffusent plus que de leur stricte vérité.
Professeure Associée en Marketing _ Directrice des Programmes MSc Marketing et MSc Digital Marketing & Data Analytics, Grenoble École de Management (GEM)