À mesure que nous vieillissons, notre corps requiert différentes sortes d’activités physiques pour rester en forme. Ce petit guide vous aidera à choisir le type de sport le plus adapté à votre âge.
Nous assistons à un changement profond dans la signification sociale de la retraite, davantage associée aujourd’hui à l’activité et moins au repos et aux loisirs.
Il n’y a pas une, mais des mémoires. Et si certaines sont très affectées par le vieillissement, d’autres peuvent au contraire constituer des outils pour lutter contre des pathologies comme Alzheimer.
Les bienfaits de l'activité physique pour la santé ne sont plus à prouver. Et ce, quel que soit l'âge des patients, contrairement à ce que l'on pensait jusqu'ici.
Les hommes et les femmes qui déclarent que leurs activités sexuelles périclitent sont plus susceptibles de connaître aussi une détérioration de leur état de santé général.
Avoir des cataractes est normal en vieillissant et cela se traite facilement par chirurgie. Plus rare, la dégénérescence maculaire ne se guérit pas mais il est possible de la prévenir.
Notre attitude envers les employés âgés est archaïque et dépassée, compte tenu des avancées scientifiques et technologies. Nous devons envisager l’âge en termes de capacités, et non de chronologie.
Peu importe la quantité d'activité physique faite dans votre jeunesse, selon la science, ce qui compte vraiment, c'est la quantité d'exercice que vous faites maintenant.
Les femmes proches aidantes s'appauvrissent, réduisent souvent leur temps de travail ou quittent leur emploi. Or, il n’y aurait pas un manque de services, mais plutôt une sous-utilisation.
Les gouvernements doivent penser aux relations des personnes âgées avec les animaux de compagnie lorsqu'ils planifient l'aide aux personnes âgées et la gestion des catastrophes.
La question du vieillissement des populations n’est plus aussi alarmiste qu’avant mais continue de questionner la responsabilisation des individus dans leur propre parcours de vieillissement.
Gilles Pison, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)
Ces dernières années, l’espérance de vie des Français ne progresse plus que faiblement. S’agit-il d’un ralentissement conjoncturel ou d’une tendance de fond ? Que se passe-t-il ailleurs en Europe ?
Hubert Jaspard, École des hautes études en santé publique (EHESP)
Phénomène mal connu et tabou, la maltraitance en établissements pour personnes vulnérables existe bel et bien. Ou devrait-on dire, les maltraitances, car la réalité est complexe et difficile à cerner.
La fonte musculaire, qu’elle soit liée au vieillissement ou à la maladie, est un problème de santé publique majeur. Les chercheurs qui l’étudient ont désormais un allié de taille : l’ours scandinave.
S'il y a des raisons de penser que la crise de la quarantaine existe, les malaises survenant à cette période auraient pu se produire aussi bien avant qu’après cet « âge mûr » difficile à cerner.
L’allongement de la durée de vie s’accompagne d’une volonté de « vieillir beau » le plus longtemps possible. Pour réaliser ce souhait, les bactéries pourraient être de précieuses alliées.
Psychiatre du sujet âgé, chercheur associé au Laboratoire interdisciplinaire d'étude du politique Hannah Arendt (Université Paris-Est Créteil), co-directeur du département de recherche Éthique biomédicale du Collège des Bernardins, Université Paris-Est Créteil Val de Marne (UPEC)
Anthropologue et démographe, professeur émérite au Muséum national d’histoire naturelle et conseiller de la direction de l'INED, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)