Améliorer la santé humaine
L'Inserm est le seul organisme public de recherche français entièrement dédié à la santé humaine. Sous la double tutelle du ministère de la Santé et du ministère de la Recherche, l’Inserm dispose d’un budget de 998 millions d’euros et réunit 15 000 chercheurs, ingénieurs et techniciens, avec un objectif commun : améliorer la santé de tous par le progrès des connaissances sur le vivant et sur les maladies, l’innovation dans les traitements, la recherche en santé publique.
Offrir une capacité de recherche de premier plan
L’Inserm compte plus de 350 structures de recherche, réparties sur l’ensemble du territoire français et à l'étranger. Elles sont accompagnées par 13 délégations régionales pour une gestion de proximité. L'animation scientifique des grands champs de recherche biomédicale et en santé est assurée par les 9 instituts thématiques de l'Inserm.
Produire de l’excellence
L’Inserm est au 1er rang européen des institutions académiques de recherche dans le domaine biomédical, avec près de 12 000 publications par an, et au 2e rang mondial derrière les National Institutes of Health (NIH) intra-muros.
En matière d’intelligence artificielle, les « grands modèles de langage » comme ChatGPT sont si complexes que leurs créateurs peinent à prévoir leurs comportements. La psychologie peut les y aider.
Pour la première fois, les zones de France continentale où les populations sont les plus exposées à la chaleur, la pollution de l'air et au manque de végétation ont été cartographiées finement.
Découvertes dans les années 1940, les PFAS ont envahi notre quotidien. On sait aujourd’hui qu’elles posent de nombreux problèmes de santé. Problème : il est extrêmement difficile de s’en débarrasser.
Des travaux de recherche suggèrent que, lorsqu’on prend de l’âge, s’exposer davantage à la lumière naturelle aide à limiter les troubles du sommeil. Des résultats à appliquer, par exemple, en Ehpad.
Loin de n’être qu’un « banal » virus respiratoire, le coronavirus SARS-CoV-2 peut envahir de nombreuses sortes de cellules dans notre corps. Y compris dans le cerveau, normalement si bien protégé.
Pour sortir de la caricature, les débats récurrents sur le cannabis nécessitent une argumentation moins idéologique. Loin des opinions, voici quelques vérités scientifiques sur cette plante.
On trouve des émulsifiants dans un grand nombre d’aliments industriels. De nouveaux travaux révèlent un lien entre la consommation de ces additifs et une augmentation des risques de cancers.
Le système d’étiquetage nutritionnel Nutri-score a évolué au 1ᵉʳ janvier 2024, afin de tenir compte des recommandations nutritionnelles les plus récentes en vigueur en Europe. Voici ce qui change.
¿Acceder a los sueños de otras personas es una fantasía de ciencia ficción? Quizá ya no: los científicos han logrado comunicarse con personas mientras duermen. Un primer paso para desentrañar los secretos de los sueños.
99 % de notre ADN ne sert pas directement à produire des protéines, pourtant il est très utile pour réguler cette production. Mieux connaître cette partie du génome est un défi majeur.
Michel Bourguignon, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay and Nicolas Foray, Inserm
Alors que les recherches sur les deux principales pistes d’explication de la maladie d’Alzheimer piétinent, des données récentes ouvrent une troisième voie, impliquant des problèmes de réparation de l’ADN.
À quelles pollutions et paramètres environnementaux les hommes et les femmes sont-ils exposés tout au long d’une vie ? La notion d’exposome permet d’explorer cet enjeu crucial pour la santé.
Accéder aux rêves des autres, un fantasme de science-fiction ? Pas si sûr : des scientifiques sont récemment parvenus à communiquer avec des dormeurs. Un pas de plus vers l’obtention de la clé des songes…
Les FemTech, ces technologies numériques dédiées à la santé des femmes, sont en plein essor. Mais les utilisatrices sous-estiment parfois les menaces qu’elles peuvent faire peser sur leur vie privée.
Le Covid, les attentats et les conflits armés impactent la santé mentale des jeunes déjà dégradée par des déterminants sociaux majeurs comme la pauvreté, le mal-logement ou le contexte familial.
Des bactéries résistantes à des quantités phénoménales de radiation poussent à repenser notre compréhension des mécanismes qui sous-tendent le vieillissement.
Chercheur en Bioinformatique à l’Inserm, Unité Inserm 1090 TAGC, Théories et Approches de la Complexité Génomique, Aix-Marseille Université, Marseille., Inserm
Research Associate Professor of Epidemiology at CRESS - EREN (Inrae, Inserm, Université Sorbonne Paris Nord, Université Paris Cité), and head of the NACRe network (Réseau NACRe), Inserm
Doctorante en épidémiologie à Santé publique France et à l’Inserm, associée au Réseau doctoral en santé publique coordonné par l’École des hautes études en santé publique (EHESP), Inserm
PU-PH, chef du service de biochimie métabolique à l'hôpital Necker-enfants malades, professeur à l'Université Paris Cité, directeur de l’UMR-S 1124 « Toxicité Environnementale, Cibles Thérapeutiques, Signalisation Cellulaire et Biomarqueurs (T3S) », Inserm