Améliorer la santé humaine
L'Inserm est le seul organisme public de recherche français entièrement dédié à la santé humaine. Sous la double tutelle du ministère de la Santé et du ministère de la Recherche, l’Inserm dispose d’un budget de 998 millions d’euros et réunit 15 000 chercheurs, ingénieurs et techniciens, avec un objectif commun : améliorer la santé de tous par le progrès des connaissances sur le vivant et sur les maladies, l’innovation dans les traitements, la recherche en santé publique.
Offrir une capacité de recherche de premier plan
L’Inserm compte plus de 350 structures de recherche, réparties sur l’ensemble du territoire français et à l'étranger. Elles sont accompagnées par 13 délégations régionales pour une gestion de proximité. L'animation scientifique des grands champs de recherche biomédicale et en santé est assurée par les 9 instituts thématiques de l'Inserm.
Produire de l’excellence
L’Inserm est au 1er rang européen des institutions académiques de recherche dans le domaine biomédical, avec près de 12 000 publications par an, et au 2e rang mondial derrière les National Institutes of Health (NIH) intra-muros.
L’actualité récente a été marquée par plusieurs crises liées à des contaminations de laits infantiles. Retour sur l’histoire de ces produits, qui ont participé à faire reculer la mortalité infantile.
Une épidémie due au virus Marburg, causant des fièvres hémorragiques, est en cours en Guinée équatoriale. L’Organisation mondiale de la Santé a convoqué une réunion d’urgence. Que faut-il savoir ?
De nouvelles études génétiques prétendent pouvoir déterminer notre intelligence ou nos risques de développer des maladies, mais tout n’est pas inscrit dans notre ADN.
En France comme ailleurs, la population vieillit. Préserver la santé mentale des seniors devient donc un défi majeur de santé publique. La méditation offre de réelles perspectives, voici pourquoi.
Malgré un siècle d’étude, la maladie d’Alzheimer reste mal comprise et sans solution thérapeutique. Une nouvelle piste, étudiant le déséquilibre cellulaire de métaux (tel le cuivre), est prometteuse.
En France, les tests génétiques sont très encadrés et permettent seulement de rechercher une pathologie par test. Pourquoi ne pas réutiliser ces données pour faire avancer d’autres études ?
Depuis début septembre, l’Ouganda fait face à une flambée d’Ebola due cette fois à la souche Soudan de ce virus mortel. Une situation à risque pour le pays, selon l’Organisation mondiale de la Santé.
Un médicament initialement développé pour lutter contre le cancer s’est révélé très prometteur pour combattre ces deux parasites majeurs, ainsi que certains parasites du bétail.
One of the oldest and deadliest diseases, malaria caused more than 627,000 deaths in 2020. A new treatment based on a drug initially developed to fight cancer has shown considerable promise.
Si les gens qui détestent le sucre sont rares, nombreux sont ceux qui l’adorent au point d’en manger trop. Cet excès peut-il accroître le risque de cancer ? Voici ce qu’en savent les scientifiques.
L’usage des applications de suivi menstruel pose d’importantes questions – éthiques, de fiabilité, de protection des données privées. Nombre de mauvaises pratiques ont été révélées récemment.
Difficultés économiques, contraintes de temps, manque de savoir-faire… Les étudiants peinent souvent à équilibrer leur alimentation. Mais l’université peut pallier ces manques de plusieurs façons.
On savait l’hormone GnRH essentielle à la puberté et à la reproduction. De nouveaux travaux révèlent qu’elle intervient aussi dans la cognition, ce qui ouvre des pistes pour traiter la trisomie 21.
Nous ne sommes pas tous égaux face aux moustiques. Non seulement certaines peaux les attirent davantage, mais de plus, les réactions à leurs piqûres varient d’une personne à l’autre.
Alors que l’épidémie de Monkeypox (variole dite du singe) se développe en Europe, un ancien vaccin contre la variole confirme son efficacité. Comment le sait-on ? Comment fonctionne-t-il ?
Sans une bonne communication entre cerveau et muscles, pas de mouvement contrôlé possible… Une nouvelle étude se penche sur là où ce dialogue s’établit et d’en identifier un nouvel acteur clé.
Chercheur en Bioinformatique à l’Inserm, Unité Inserm 1090 TAGC, Théories et Approches de la Complexité Génomique, Aix-Marseille Université, Marseille., Inserm
Research Associate Professor of Epidemiology at CRESS - EREN (Inrae, Inserm, Université Sorbonne Paris Nord, Université Paris Cité), and head of the NACRe network (Réseau NACRe), Inserm
Doctorante en épidémiologie à Santé publique France et à l’Inserm, associée au Réseau doctoral en santé publique coordonné par l’École des hautes études en santé publique (EHESP), Inserm
PU-PH, chef du service de biochimie métabolique à l'hôpital Necker-enfants malades, professeur à l'Université Paris Cité, directeur de l’UMR-S 1124 « Toxicité Environnementale, Cibles Thérapeutiques, Signalisation Cellulaire et Biomarqueurs (T3S) », Inserm