Héritière de l’Université de Bretagne créée au XVe siècle, l'Université de Rennes avec ses cinq grandes écoles composantes (EHESP, ENSCR, ENS Rennes, INSA Rennes, Sciences Po Rennes) considère la recherche et sa valorisation comme une priorité, comme une marque distinctive qui fait sa renommée à l’international et auprès des entreprises. Cet établissement public expérimental soutient l’émergence de projets innovants, en mettant à disposition des infrastructures d’appui agiles et performantes, tout en encourageant la recherche transdisciplinaire et partenariale. L’Université de Rennes est le premier déposant de brevets en Bretagne.
Université de recherche intensive, l'établissement dessine des axes d’excellence, mondialement reconnus, qui la placent parmi les quelques universités françaises citées dans les classements internationaux. À l’œuvre dans cinq secteurs (biologie-santé, environnement, matériaux, mathématiques-numérique, sciences de l'Homme, des organisations et de la société), associés aux organismes nationaux de recherche (CNRS, Inserm, Inria, INRAE), les scientifiques des 34 laboratoires sous co-tutelle de l’Université de Rennes sont au cœur des grands enjeux de la société de demain. À l’avant-garde des savoirs, l’établissement est un acteur de premier plan pour la formation de ses 37 000 étudiant.e.s, qu’elle soit initiale ou tout au long de la vie. Ce rôle lui confère une responsabilité considérable vis-à-vis de la société et fait de lui un moteur essentiel du développement socio-économique et culturel du territoire.
En France comme à l’international, l'Université de Rennes mobilise ses expertises pour relever les grands défis sociétaux d’un monde en transition, en particulier dans les domaines de l’environnement, de la santé globale et du numérique. L’Université de Rennes s’engage ainsi à jouer un rôle pilote dans la transition écologique et environnementale : elle entend contribuer activement à la préservation et à la restauration de la planète par la mise en œuvre des objectifs du développement durable des Nations unies.
Pierre Le Cann, École des hautes études en santé publique (EHESP)
Le confinement n’empêche pas les contaminations au sein d’un même logement. Parmi les bons gestes à adopter, nettoyez les toilettes ! Car le virus est aussi présent dans les selles…
Pascal Crépey, École des hautes études en santé publique (EHESP)
Emmanuel Macron a annoncé une série de mesures pour freiner le Covid-19. Suffiront-elles ? Comment l’épidémie pourrait-elle évoluer ? Pascal Crépey, épidémiologiste, apporte des éléments de réponse.
François Langevin, École des hautes études en santé publique (EHESP)
L’hôpital s’est peu à peu complexifié et éloigné des villes, générant moult problèmes pour les soignants et les soignés. D’où la nécessité d’un nouveau type d’établissements de soins de proximité.
Hubert Jaspard, École des hautes études en santé publique (EHESP)
Si le recruteur détecte une anomalie, le candidat a évidemment de grandes chances d’être recalé. Toutefois, certains arrangements avec la réalité restent tolérés.
Laurent Chambaud, École des hautes études en santé publique (EHESP)
Le 17 décembre dernier, les soignants manifestaient à nouveau pour réclamer davantage de moyens pour l’hôpital public. Retour sur les origines de cette crise systémique.
Arnaud Martin, Université de Rennes 1 - Université de Rennes
L’intelligence naturelle humaine est composée de certitudes et de doutes. Il est important de pouvoir modéliser de façon la plus exacte possible nos connaissances aussi imparfaites qu’elles soient.
Eszter Dudás, Université de Rennes 1 - Université de Rennes
Les exoplanètes gazeuses et chaudes sont des corps célestes encore très mystérieux. L’analyse des molécules de leurs atmosphères est un défi, en passe d’être relevé.
Ni catastrophiques ni anodines, les mesures de plomb effectuées après l’incendie doivent être interprétées en toute connaissance de cause. Explications.
Hubert Jaspard, École des hautes études en santé publique (EHESP)
L’environnement de travail, mais aussi la reconnaissance ou encore la notion de métier participent à l’épanouissement des équipes – et donc à leur performance.
Laurent Chambaud, École des hautes études en santé publique (EHESP)
Le secteur de la santé semble particulièrement ciblé par les fake news. Quelles hypothèses expliquent cette situation ? Quels sont les risques ? L’analyse de Laurent Chambaud, directeur de l’EHESP.
Alessia Lefébure, École des hautes études en santé publique (EHESP)
Si, depuis la création d’Erasmus, le nombre de candidats n’a cessé d’augmenter, l’Union européenne insiste sur l’ouverture sociale nécessaire du programme. Qu’en est-il concrètement ?
Hubert Jaspard, École des hautes études en santé publique (EHESP)
Les critères retenus par la loi restent insuffisants pour définir précisément la pénibilité d’un métier, notamment car ils ne retiennent pas la dimension « bien-être ».
Si les dangers de la pollution de l’air extérieur sont aujourd’hui bien connus, ceux relatifs à l’air que l’on respire dans les espaces clos le sont beaucoup moins, révèle une étude internationale.
The dangers of outdoor air pollution are now well known, but those related to the air we breathe at homes and at work are much less so, according to an international study.
Alessia Lefébure, École des hautes études en santé publique (EHESP)
Annoncées comme « révolutionnaires » en termes d’impact sur le système de santé, les nouvelles modalités d’accès aux études de médecine s’inscriraient plutôt dans la lignée des dernières évolutions.
Hubert Jaspard, École des hautes études en santé publique (EHESP)
Phénomène mal connu et tabou, la maltraitance en établissements pour personnes vulnérables existe bel et bien. Ou devrait-on dire, les maltraitances, car la réalité est complexe et difficile à cerner.