Certaines des vives réactions au sujet de la Légion d’honneur décernée au président de la filiale française de BlackRock comportaient plusieurs approximations sur le fond.
Lors du dernier Forum économique mondial, les grandes entreprises semblent avoir pris conscience que les marchés, aujourd'hui défaillants, ne permettraient pas d'atteindre une croissance soutenable.
Peter Wirtz, iaelyon School of Management – Université Jean Moulin Lyon 3
La surveillance mutuelle des dirigeants du géant du BTP avait notamment contribué à la révélation du conflit d’intérêts qui a conduit au départ d’Antoine Zacharias.
Invité de Jean‑Philippe Denis, l’économiste Olivier Passet analyse les taux négatifs comme le symptôme de l’échec des corpus idéologiques, aussi bien libéraux que keynésiens.
Sa nomination à la tête de la Banque centrale européenne pose la question d’une représentation féminine qui reste très minoritaire au sein des instances de pouvoir économique.
La faiblesse de l’activité économique et la hausse du coût du crédit ont découragé certains entrepreneurs dans leur projet, ce qui a pesé sur l’emploi et la productivité au niveau macroéconomique.
Dans le mouvement de consolidation que connaît aujourd’hui le secteur du luxe, les cibles potentielles se font de plus en plus rares pour les grands groupes…
L’essor des ordinateurs quantiques, des milliers de fois plus rapides que les processeurs classiques, pourrait avoir d’immenses répercussions dans les secteurs qui reposent sur l’analyse de données.
Les compagnies d’assurance poussent aujourd’hui les clients à opter pour des placements moins sûrs, mais la perception du contexte économique par les ménages complique cette stratégie.
Le conseil d’administration du joaillier américain souhaiterait un relèvement de l’offre formulée par le N.1 mondial du luxe, mais plusieurs raisons devraient l’inciter à ne pas être trop gourmand…
Retrouvez les invités de Jean‑Philippe Denis, professeur à l’Université Paris-Sud et rédacteur en chef de la RFG. À la une cette semaine : l’esprit malin du capitalisme.
Le numéro un mondial du luxe a toutes les raisons de s’intéresser au prestigieux groupe américain de joaillerie, qui a lui tout intérêt à négocier à la hausse le prix de l’acquisition.
Le fleuron français des vins et spiritueux a annoncé qu’il allait supprimer 10 % de ses effectifs malgré de bons résultats financiers. L’occasion de décrypter un marché pas comme les autres.
Les conséquences de la recherche en finance et de l’innovation financière, un sujet essentiel à l’affiche de ce nouvel épisode du cycle de conférences-débats.
« Si Lehman Brothers s’était appelée « Lehman Sisters », la situation en 2008 aurait été bien différente », avait déclaré la directrice générale du FMI. Une étude vient aujourd’hui confirmer ces propos.
L’engagement des grandes entreprises américaines de réorienter leur activité en faveur de l’ensemble de leurs parties prenantes reprend des préconisations formulées par la théorie dès les années 1970.
Professeur senior d’analyse financière, d’audit et de risk management - Directrice de Programme pour le MSc Fashion Design & Luxury Management- Responsable de la spécialisation MBA "Brand & Luxury Management", Grenoble École de Management (GEM)
Chargé de recherche, Fondation pour les Etudes et Recherches sur le Développement International (FERDI); Chercheur associé au CERDI (UMR UCA-CNRS-IRD), Université Clermont Auvergne (UCA)