Alors que la notion de spécisme est de plus en plus mobilisée pour décrire les relations des humains aux autres animaux, il faut cependant bien la distinguer de l’anthropocentrisme.
L'anthropocène, cette possible nouvelle ère géologique où l’influence humaine aurait surpassé les forces naturelles, est loin de faire consensus chez les géologues. Certains en déplorent l'anthropocentrisme.
Le spécisme désigne le fait de traiter différemment des individus sur la base d’un critère arbitraire : l’espèce. Est-ce pertinent biologiquement et éthiquement ?
De l’hypothèse Gaïa de James Lovelock aux thèses du philosophe des sciences Jean-Pierre Dupuy, on assiste depuis les années 1980 à un rapprochement entre écologie et spiritualité.