Deux compagnies ferroviaires, le CN et le CP, déterminent les lois, les règles et les règlements – avec la complicité de bureaucrates et de législateurs – de manière à servir leurs propres intérêts.
La rhétorique habituelle des banques semble avoir convaincu les députés de s’opposer à la transposition à venir d’une recommandation internationale pourtant importante pour la solidité du système.
Les tragédies de Boeing et de Lac-Mégantic résultent de la déréglementation. La sécurité a été réduite au point où il ne s’agissait plus de savoir si un accident allait survenir, mais quand.