Même si des questions se posent en termes d’efficacité de la règlementation bancaire, la réactivité des autorités et les mécanismes de garantie des dépôts protègent aujourd’hui les marchés d’un krach.
La tournée africaine de la secrétaire d'Etat américaine au Trésor ouvre une nouvelle ère de diplomatie économique et offre l’occasion de redéfinir les termes de l’échange.
Les crises de ces deux dernières années ont accéléré au recentrage des échanges par grandes zones d’influence. Une tendance désormais actée par les grandes puissances.
Même si les marchés on fait preuve de résilience, la faillite soudaine du hedge fund incite le régulateur américain à exiger davantage de transparence de la part des banques.
Une recherche montre que la BCE et la Fed, qui multiplient les explications publiques ces dernières années, ne parviennent pas à retenir l’attention de manière optimale.
Le maintien par la Fed de taux à un très bas niveau interpelle. Les conditions étaient réunies pour une hausse, anticipée par les investisseurs. La politique de la Fed inquiète ces derniers.
Professeur d'économie et de management, Directeur de la Recherche de l’IRIMA, Membre de la Chaire Mindfulness, Bien-Etre au travail et Paix Economique, Grenoble École de Management (GEM)
Senior Associate Fellow on the Middle East at RUSI; Associate Professor in Politics & International Relations; Deputy Director of the Centre on US Politics, UCL