Dorian M. Gaboriau, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT); Jonathan Lesven, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT); Victor Danneyrolles, Université du Québec à Chicoutimi (UQAC), and Yves Bergeron, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT)
Les feux de forêt de l’été 2023 au Québec ont été très impressionnants – et ravageurs. Il s’agit même de la pire année depuis 50 ans. Et avec les changements climatiques, le pire semble à venir.
Les fumées d’incendie sont composées de gaz toxiques asphyxiants et irritants, de vapeur d’eau et de suies. Elles sont souvent plus à craindre que les flammes elles-mêmes.
Alors que les feux de forêt continuent de se propager, les producteurs de raisins et les viticulteurs de l’Okanagan doivent faire face à la menace de plus en plus fréquente des émanations de fumée.
Avec le réchauffement planétaire, les températures extrêmement chaudes deviendront plus fréquentes et intenses, ce qui augmentera la sévérité des vagues de chaleur et le risque de feux de forêt.
Professeur de Physiologie du travail et de l'exercice /// Ex- CR2C "Spécialiste physiologie du sport " au Commissariat des Armées - HIA Laveran, Aix-Marseille Université (AMU)