Cette pelote, constituée des restes de proies non digérés par un cormoran, contient de précieuses données que les biologistes qui les ramassent utilisent pour suivre la biodiversité marine.
Avec l’arrivée des humains sur l’île de Sainte-Hélène, l’écosystème a été totalement bouleversé. Une équipe de scientifiques tente de savoir quelles espèces d’oiseaux y vivaient.
Un projet écologique autour de la conservation des chouettes orfraies a permis de rassembler autour d’une même table Israéliens, Jordaniens et Palestiniens. Un pas de plus vers la paix ?