De nouvelles applications médicales posent des problèmes en matière de légalité, même si elles pourraient s'avérer bénéfiques pour la population.
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De nouvelles applications numériques (Ada, Babylon, Symptomate, etc.) proposent des services médicaux au grand public, jouant avec la frontière des activités réservées aux médecins.
En vieillissant, on risque davantage de développer des maladies chroniques qui nécessiteront la prise de plusieurs médicaments, traitant différents problèmes. C'est ce qu'on nomme la polypharmacie.
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Dans la majorité des cas, les médicaments agissent pour le bien de la personne. Mais si le traitement de chacune des maladies est souvent adéquat, c’est l’ensemble qui peut être problématique.
Si ces dernières années ont vu la parole se libérer dans l'espace public autour des violences sexuelles faites aux mineurs, cette ouverture survient trop tard pour de nombreuses victimes, qui se heurtent au délai de prescription dans leurs démarches judiciaires.
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Plusieurs textes sont venus ouvrir la possibilité d’une prescription retardée pour ces infractions. Pourtant, le législateur a toujours reculé devant l’imprescriptibilité.
Bannir les mots antidépresseurs, neuroleptiques, etc. Parler des neurotransmetteurs et des moyens utilisés pour les cibler. La nomenclature NBN espère améliorer ainsi la prescription en psychiatrie.
Avocat, enseignant et chercheur associé en droit et politiques de la santé / Lawyer, lecturer and research associate in Health Law and Policy, Université de Sherbrooke
Professeure titulaire, Faculté de droit, Chaire Canada-CIFAR en IA et Chaire de recherche du Canada en droit et politiques de la santé, Université de Montréal