Les immigrés et descendants d’immigrés résidents des villes périphériques parmi les plus pauvres de l’état sont les principaux supporters de la droite dure, et de Nétanyahou en particulier.
Deux œuvres cinématographiques participent à la redéfinition de la représentation des forces armées en Israël, et à la mise en lumière des paradoxes politiques du pays.
Ce coup de théâtre est d’abord la conséquence d’un système de représentation proportionnelle quasi intégrale qui donne aux petits partis un pouvoir de blocage exorbitant.
La campagne du candidat Gantz semble ainsi s’inscrire à la droite de Benyamin Nétanyahou, n’hésitant pas à mettre en avant les morts palestiniens comme preuve de la détermination de l’ancien général.
La victoire-éclair de 1967 a suscité une puissante volonté de revanche de la part des perdants et des dominés, transformant la guerre des Six Jours en une guerre de 50 ans.
La France souhaite relancer le processus de paix entre Israéliens et Palestiniens. Mais au-delà de cette bonne volonté, en a-t-elle encore les moyens ?
En refusant in extremis de bombarder le régime de Damas en 2013, Barack Obama aurait encouragé l’usage de la force sur la scène internationale. Un constat un peu simpliste.
Dans ce territoire occupé par Israël depuis 1967, deux régimes distincts du droit du travail s'appliquent. Un réalité choquante avalisée par les plus hautes autorités israéliennes.
Doctorante associée à l'Institut de Recherche Stratégique de l'École Militaire en science politique et relations internationales (CMH EA 4232-UCA), Sciences Po
Professeur de sociologie politique. Chercheur au Centre d’études en sciences sociales sur les mondes africains, américains et asiatiques (CESSMA), chercheur associée au Centre d'Etudes et de Recherche Moyen-Orient, Méditerranée (CERMOM) , Institut national des langues et civilisations orientales (Inalco)
Maître de conférences en civilisation britannique et industries culturelles et créatives, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay