La Turquie s’est récemment retirée de la Convention d’Istanbul, un texte qui lutte contre les violences faites aux femmes. Un fléau pourtant très réel dans ce pays.
Alors que les images trop parfaites qui circulent à la vitesse grand V sur les réseaux sociaux peuvent générer des troubles, quelques pistes pour dialoguer sur la place et les usages des écrans.
Sur les médias sociaux, l’apparence physique prime, y compris quand les messages incitent à se sentir bien dans son corps. Ce qui favorise les troubles alimentaires chez certains utilisateurs.
Si les plates-formes de vidéo courtes comme TikTok ont le vent en poupe, les adolescents sont encore très présents sur YouTube qui leur permet d’expérimenter différentes présentations de soi.
Pour lutter contre le manque de ressources en santé mentale, des femmes se tournent vers le réseau populaire de partage d’images Instagram pour accéder à des informations.
Face aux photos retouchées d’influenceurs qui collectionnent les « like » sur les réseaux, les adolescents peuvent développer une mauvaise image d’eux-mêmes. Comment ouvrir la discussion en famille ?
La vidéo pour mobile est peu exploitée par les médias québécois. C’est là que Noovo.info pourrait se démarquer et rejoindre un autre public que celui, vieillissant, des bulletins télé.
La mobilisation d’une partie de la population sénégalaise contre le pouvoir du président Macky Sall doit beaucoup à l’inventivité et au dynamisme des internautes.
Quand on alerte sur les dangers d’Internet, on parle aux enfants des risques liés aux mauvaises rencontres. Mais les prévient-on de l’impact des réseaux sociaux sur l’estime de soi ?
Facebook et YouTube tentent d’arrêter la propagation des conspirations QAnon, mais les membres de la communauté ont trouvé de nouvelles façons de promouvoir de fausses théories sur les médias sociaux.
Certains taxent les parents qui postent des photos de famille sur les réseaux sociaux de narcissisme. Mais ne devraient-ils pas plutôt se pencher sur le modèle économique de ces sites ?
François Nicolle, Conservatoire national des arts et métiers (CNAM)
À travers jeux et vidéos en direct, l’usage traditionnel d’Instagram a évolué pendant le confinement. Les motivations sociales ou créatives des débuts de la plate-forme ont été moins marquées
La proximité créée par le service du réseau social l’a imposé comme un divertissement incontournable en quelques semaines. Les marques l’ont d’ailleurs très bien compris.
Laurence Corroy, Université Sorbonne Nouvelle, Paris 3 and Sophie Jehel, Université Paris 8 – Vincennes Saint-Denis
Les lycéens réussissent-ils à préserver leur vie privée face à ces machines de guerre économique que sont Snapchat ou Instagram ? Quelques réponses avec une enquête de terrain menée en 2019.
Sacs à main, montres… De plus en plus de produits de luxe sont proposés à la location pour répondre à une nouvelle demande. Ce qui n’est pas sans conséquence pour les marques.