L’impact économique de la pandémie de Covid-19 pourrait être considérable. La relance de l’activité, qui va de pair avec le déconfinement, est une préoccupation majeure. Comment s’y prendre au mieux ?
Avant d’en arriver à un éventuel déconfinement, il faudra encore répondre à de nombreuses questions. Une chose est sure, seul un vaccin permettra de tenir en respect le SARS-CoV-2. Où en est-on ?
En cas d'infection par le coronavirus SARS-CoV-2, faut-il changer ses habitudes en matière de médicaments ? Des experts indépendants du médicament répondent à quelques questions fréquentes.
La théorie complotiste de la création d’un virus en laboratoire puis libéré dans la nature a été beaucoup relayée. Rien ne corrobore cette hypothèse mais on peut expliquer pourquoi elle prospère.
Nevan Krogan, University of California, San Francisco
Parmi les 20 000 médicaments approuvés par la FDA, certains peuvent traiter le Covid-19. Une équipe de l’Université de Californie à San Francisco est en train d’identifier des candidats possibles.
Alice Desclaux, Institut de recherche pour le développement (IRD)
Reprises, amplifiées, déformées, mal comprises…Les informations qui quittent les laboratoires pour le vaste espace incontrôlé des médias et réseaux numériques peuvent avoir des conséquences graves.
Pierre Le Cann, École des hautes études en santé publique (EHESP)
Le confinement n’empêche pas les contaminations au sein d’un même logement. Parmi les bons gestes à adopter, nettoyez les toilettes ! Car le virus est aussi présent dans les selles…
Les mesures prises afin de lutter contre le coronavirus SARS-CoV-2 vont modifier profondément la vie quotidienne des Français. Pour en atténuer les effets délétères, la parole sera importante.
Les premiers travaux sur l’impact psychosocial du Covid-19 en Chine révèlent que l’épidémie n’a pas seulement marqué les corps, mais aussi les esprits, notamment en raison des mesures de confinement.
Les désinfectants pour les mains, et les gels hydroalcooliques en particulier, ont fait beaucoup parler d’eux ces dernières semaines. Voici ce qu’il faut savoir pour les utiliser correctement.
L’Organisation mondiale de la santé s’est au fil des décennies détournée de ses objectifs initiaux. En cause notamment, l’évolution de son financement vers un modèle très critiquable.
Des données plus précises permettent aujourd’hui de mieux évaluer l’épidémie de Covid-19. Leur analyse montre que son taux de létalité n’a pas diminué autant qu’on aurait pu l’espérer.
Si les services de santé se trouvaient débordés par l’épidémie de Covid-19, il faudrait établir des protocoles pour déterminer qui soigner en priorité. Sur quels critères ? Avec quelles conséquences ?
Le SARS-CoV-2 continue à circuler en France. Si ce nouveau coronavirus est bénin dans la grande majorité des cas, comment sont soignés les patients vulnérables qui développent des pneumonies sévères ?
Certes, la progression de l’épidémie de coronavirus est préoccupante. Mais il faut rester optimiste. En effet, jamais l’humanité n’a été aussi bien préparée à affronter une pandémie.
La mortalité due au coronavirus SARS-Cov-2 augmente-t-elle ? Pourquoi l’OMS ne parle-t-elle pas de pandémie ? Que sait-on de l’efficacité de la chloroquine ? Les réponses d’Éric D’Ortenzio.
Géraldine Veron, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)
Une équipe de scientifiques chinois suspecte le pangolin d’être un hôte intermédiaire du Covid-19 entre les chauves-souris et l’humain. Quels éléments avons-nous pour juger de cette affirmation ?
Mis en place après l’avènement de la République populaire, le système de santé chinois a pâti de l’ouverture économique. En 2003, le SRAS a contraint les autorités à le réformer. Est-ce suffisant ?
Maître de conférences en épidémiologie et évolution des maladies infectieuses, laboratoire PCCEI (Univ. Montpellier, Inserm, EFS) & CHU Nîmes, Université de Montpellier
Directeur de Recherche au CNRS et directeur de l'équipe Écologie et Évolution de la Santé au Centre interdisciplinaire de recherche en biologie (CIRB) UMR CNRS 7241 – U1050 Inserm – Collège de France, Centre national de la recherche scientifique (CNRS)
Professeur des Université en pédiatrie, chef du service de pédiatrie générale et des urgences pédiatriques, hôpital Mère Enfant, CHU Nantes, Université de Nantes
Épidémiologiste et biostatisticienne, directrice adjointe de l'Institut Pierre Louis d’Épidémiologie et de Santé Publique (Sorbonne Université/Inserm), directrice de recherches, Inserm
PU-PH, Professeur de Pédiatrie, Inserm UMR 1069 "Nutrition, Growth Cancer" & Inserm F-CRIN PEDSTART, Institut Européen de l'Histoire et des Cultures de l'Alimentation,Université de Tours, CHU de Tours, Inserm
Médecin spécialiste en maladies infectieuses, Professeur des Universités, présidente du groupe de travail sur le Covid long à la Haute Autorité de Santé, Université Paris Cité