À l'heure actuelle, les seuls médicaments approuvés pour la maladie d'Alzheimer se contentent de soulager certains symptômes - partiellement et temporairement - mais n'arrêtent pas la progression de la maladie.
Shutterstock
Connue officiellement depuis 115 ans, il n'y a toujours pas de traitement contre l'Alzheimer. Le cerveau humain est extrêmement complexe, et la maladie d'Alzheimer est sa maladie la plus complexe.
Technique récente plébiscitée par les biologistes, la «cryo-microscopie électronique» permet d’étudier la structure de molécules complexes en trois dimensions, comme les protéines.
La protéine spike du SARS-CoV-2 interagit avec la surface de cellules humaines en formant un complexe, représenté en bleu et jaune. Un médicament potentiel déstabilisant le complexe est aussi représenté en cyan, blanc et rouge.
Antonio Monari
Comment le SARS-CoV-2 s’arrime-t-il aux cellules humaines ? Peut-on modifier cet assemblage ? Les simulations moléculaires permettent d’étudier ces interactions, à l’atome près.
Gentiane, dans les montagnes autour de Grenoble.
Stephanie Hutin
La chimie verte vise à limiter les impacts de l’industrie chimique en économisant matières premières et énergie.
Cuivre, métal ici utilisé en architecture (EMP Museum, Seattle) mais dont l'association sous forme d'ion avec des peptides est riche de promesses.
Sergei Akulich/Unsplash
Naturellement produits par certains organismes, des peptides (« mini-protéines ») à forte affinité pour les métaux ouvrent de nouvelles perspectives pour la santé, la gestion de l’environnement, etc.
Pour relever le défi considérable d'assurer la sécurité alimentaire pour l'avenir, il est impératif de trouver des sources alternatives et durables de protéines.
Shutterstock
Près d'un milliard de personnes souffrent de malnutrition chronique dans le monde, sans compter l'impact du réchauffement climatique. Parmi les solutions possibles : manger des insectes.
Plusieurs études ont prouvé que les gens qui mangent beaucoup de fromage ne risquent pas plus que les autres de développer une maladie cardiovasculaire.
Shutterstock
Plusieurs études ont prouvé que les gens qui mangent beaucoup de fromage ne risquent pas plus que les autres de développer une maladie cardiovasculaire.
Fanny Parise (à gauche) et Samir Mezdour (à droite) dans les studios de Moustic the Audio Agency.
Moustic the Audio Agency
L’après-viande est déjà là, mais tout le monde ne veut pas forcément manger du soja, des insectes, des vers ou de la spiruline. Trois chercheurs sondent l’avenir des protéines que nous avalons.
L’optogénétique est une technologie de grand intérêt dans le monde de la recherche biomédicale. Cette technique utilisant la lumière permet de comprendre la fonction de certaines protéines.
Professeur titulaire – Groupe de recherche en recyclage biologique et aquaculture, Faculté des sciences de l’agriculture et de l’alimentation, Université Laval, Université Laval