La testostérone est une hormone produite à fois chez les hommes et les femmes. Les hommes en produisent plus, mais cela ne signifie pas forcément qu’ils sont toujours plus forts que les femmes.
Sur les médias sociaux, l’apparence physique prime, y compris quand les messages incitent à se sentir bien dans son corps. Ce qui favorise les troubles alimentaires chez certains utilisateurs.
Le lumbago reste, en 2021, le mal du siècle, touchant une large part de la population. Comment éviter qu’il ne devienne chronique ? Début de réponse : le repos n’est pas la solution.
Alors que l'obésité progresse en France, une activité physique adaptée permet non seulement de mieux gérer son apport alimentaire et son poids. La qualité de vie s'en trouve également améliorée.
Une nouvelle étude révèle qu’il est très bénéfique de faire seulement 7 000 pas par jour, ce qui peut être un soulagement pour ceux qui n’arrivent jamais à en faire 10 000.
Si vous aimez écouter de la musique, que ce soit pour vous aider à vous concentrer ou plutôt pour vous dépenser lors d'une activité physique, voici quelques conseils.
Si plus de 50 % des élèves souhaitent plus d’heures de cours d’EPS, d’autres redoutent de se trouver confrontés au regard des autres sur leur apparence physique. Éclairages.
Bains chauds ou saunas ne constituent pas des substitut à l'exercice, mais ils peuvent en imiter certains des effets bénéfiques pour la santé. Quel est l’état des recherches sur le sujet ?
Si les reins pouvaient parler, ils vous diraient de ne pas abuser de la règle de l’eau que vous entendez tout le temps. Faute de parler, ils envoient des signaux à votre corps pour dire : c’est assez.
Dans l’espace, l’absence de gravité a de fortes conséquences sur l’organisme des astronautes, mais ce n’est pas le seul effet dont il faut protéger les êtres vivants dans l’espace.
Une nouvelle étude indique que les personnes qui font de l'exercice pendant 150 minutes par semaine ont deux fois moins de risques de mourir de la Covid-19 que celles qui sont constamment inactives.
Amélioration des capacités musculosquelettiques, cardiovasculaires, métaboliques… L’activité physique ressemble vraiment à un médicament miracle. Et notre cerveau en bénéficie lui aussi.
Avec les restrictions liées à la crise sanitaire, la détresse psychologique augmente chez les étudiants. Pour endiguer ce mal-être, les établissements tentent de miser sur l’activité physique.
Quelles réponses physiologiques doit déclencher notre organisme lors de l’exercice, pour adapter ses ressources aux besoins des muscles ? Petit tour d’horizon…
Les sports organisés favorisent les liens sociaux, qui manquent cruellement aux jeunes et expliquent leur détresse croissante depuis le début de la pandémie.
Professeur des universités en sciences de l'éducation/formation des adultes, Formation et Apprentissages Professionnels, Cnam, Conservatoire national des arts et métiers (CNAM)
Research Associate Professor of Epidemiology at CRESS - EREN (Inrae, Inserm, Université Sorbonne Paris Nord, Université Paris Cité), and head of the NACRe network (Réseau NACRe), Inserm