Les pays africains ont besoin de réseaux d'infrastructures efficaces pour dynamiser le commerce au sein de la région et avec le reste du monde.
Installations de traitement dans la mine de Tenke Fungurume, l'une des plus grandes mines de cuivre et de cobalt au monde, dans le sud-est de la RDC.
Photo : Emmet Livingstone/AFP via Getty Images
Depuis les années 1990, les sociétés transnationales en tant que propriétaires et gestionnaires de grands projets miniers sont redevenues la force dominante.
Une plage jonchée de plastique et d'autres déchets dans le village de pêcheurs de Kayar, au nord de Dakar, au Sénégal.
Bara Deme
Le lancement d'une économie circulaire peut aider les pays côtiers d'Afrique de l'Ouest à lutter contre la pollution plastique grâce à un fonds de la Banque mondiale.
Un seul projet d'IFC entraine en moyenne 7,6 conflits armés supplémentaires dans l'année qui suit son lancement
Sur cette photo prise le 9 août 2020, cinq jours après l'explosion meurtrière dans le port de Beyrouth, on peut voir un graffiti où il est écrit: « Mon gouvernement a fait ça ». La corruption et l'incompétence de l'élite dirigeante libanaise a fait sombré le pays dans une crise sans précédent.
(AP/Hussein Malla)
Paul Makdissi, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa; Ali Fakih, Lebanese American University; Myra Yazbeck, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa; Rami Tabri, University of Sydney, dan Walid Marrouch, Lebanese American University
Des chefs de milices et leurs alliés politiques ont établi un système économique et politique de kleptocratie redistributive. Ils extraient et se partagent le maximum possible de l’État libanais.
Le népotisme d'Hamid Karzaï, président de l'Afghanistan de décembre 2001 à 2014, ici en compagnie de son homologue américain George W. Bush le 1er mars 2006 à Kaboul, a été l'une des raisons de l'échec des efforts de la communauté internationale.
Mandel Ngan/AFP
La communauté internationale a échoué en Afghanistan. Analyse des causes de cet échec, qui repose largement sur les recettes inefficaces des bailleurs de fonds.
Les acteurs du monde de la finance doutent encore des avantages offerts par ces titres au processus d’acquisition complexe.
Manque de standardisation, « greenwashing », incertitudes… Comprendre les obstacles rencontrés par ce marché permet de penser un effort coordonné impliquant tous les acteurs politiques et financiers.
Kristalina Georgieva, la directrice générale du Fonds monétaire international, prononce un discours lors d'une conférence co-organisée par le FMI sur le développement durable et la dette à Diamniadio (Sénégal), le 2 décembre 2019.
Seyllou/AFP
Marin Ferry, Institut de recherche pour le développement (IRD); Babacar Sène, Université Cheikh Anta Diop de Dakar, dan Marc Raffinot, Université Paris Dauphine – PSL
La prépondérance des créanciers privés dans la dette publique extérieure pèse sur le budget des États africains et complique la lutte contre le Covid-19.
Le logo de l'Organisation mondiale de la santé, dans ses locaux de Genève, le 9 mars 2019.
Fabrice Coffrini/AFP
Auriane Guilbaud, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
L’OMS, la Banque mondiale ou encore l’UE sont engagées dans la lutte contre la propagation de l’épidémie de Covid-19. Il est toutefois regrettable que ces efforts n’aient pas été mieux anticipés.
Construction du quartier financier de la nouvelle capitale administrative égyptienne, entreprise par la China State Construction Engineering Corporation, à quelque 50 km à l'est du Caire, le 7 mars 2019.
Pedro Costa Gomes/AFP
L’Afrique a besoin d’investissements massifs. Mais ceux-ci se réalisent à travers la montée de l’endettement public, ce qui est porteur de certains risques.
Ce manque de financement représenterait l’équivalent du PIB japonais.
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Le très « néo-libéral » FMI, créé il y a tout juste 75 ans, est paradoxalement issu des cogitations de deux économistes dirigistes qui prônaient les interventions de l’État.
Les dirigeants africains à la session d'ouverture du “Forum Afrique de 2017 des affaires pour l'Afrique, l'Egypte et le monde” à Sharm el-Sheikh.
Khaled Desouki/AFP
Cinq raisons, listées ici en toute subjectivité, qui assoient l’avenir économique de l’Afrique subsaharienne malgré les événements violents et dramatiques dont elle est régulièrement le théâtre.
John Maynard Keynes en 1915, entre Bertrand Russell (à gauche) et Lytton Strachey (à droite).
Ottoline Morrell/Wikimedia
Si une multitude de personnalités ont côtoyé des membres des réseaux d’espionnage pro‑soviétiques, l’ironie et le hasard de l’Histoire veulent que Keynes ait été proche des deux à la fois.
L'immeuble de la Banque Mondiale à Washington.
Daniel Afanador/Flickr
La Banque mondiale devrait montrer l’exemple en matière de gestion transparente, inclusive, et responsable. Elle ne respecte pas pour elle-même les principes de bonne gouvernance qu’elle prône.
Chargé de recherche, Fondation pour les Etudes et Recherches sur le Développement International (FERDI); Chercheur associé au CERDI (UMR UCA-CNRS-IRD), Université Clermont Auvergne (UCA)
Maîtresse de conférences en science politique, chercheuse au CRESPPA (Centre de Recherches Sociologiques et Politiques de Paris), UMR 7217, CNRS/Université Paris 8/Université Paris 10 Nanterre, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
Maître de Conférences - Economie du Développement, Finances Publiques, Traitement de la dette publique dans les pays à faible revenu, Université Paris-Est Marne-la-Vallée (UPEM), Institut de recherche pour le développement (IRD)
Directeur du Centre de Recherches Economiques Appliquées (CREA) et du Laboratoire de Finances pour le Développement (LAFIDEV) , professeur agrégé en économie spécialisé en Monnaie et Finance, Université Cheikh Anta Diop de Dakar