Le livret A reste la star des produits de placement mais la perte de pouvoir d’achat ressentie depuis deux ans pousse aussi les épargnants français à rechercher le rendement plutôt que la sécurité.
Pour répondre aux difficultés qu’ont de nombreux ménages pour contracter un emprunt immobilier, le gouvernement a proposé les prêts hypothécaires in fine en solution : que sont-ils en qu’en attendre ?
Près de 6 millions de ménages américains, souvent par contrainte de coût, n’ont pas de comptes bancaires. Pourtant, de plus en plus de commerces refusent les paiements en liquide.
La réglementation française rend quasiment impossible l’ouverture d’un compte bancaire par les membres d’organisations terroristes, qui passent aujourd’hui par des chemins détournés.
Une recherche montre l’importance de certaines femmes actionnaires au moment de la fondation de la Banco Hispano Americano, qui fait aujourd’hui partie de Banco Santander.
Le risque de recourir à la tromperie face à un prêteur, relativement répandu, augmente notamment chez les emprunteurs pris dans la spirale du surendettement.
Des mesures ont été prises pour que les entreprises et les particuliers puissent continuer à se financer auprès des banques et qu’un assèchement des financements ne provoque pas une récession.
Ces institutions, dont l’intervention reste précieuse en cas de choc économique, sont aujourd’hui appelées à adopter une vision plus proactive que réactive.
Depuis mi-mars, les marchés financiers américains connaissent des mouvements inhabituels. En cause : les investisseurs qui parient sur une aggravation des difficultés du secteur bancaire.
Une étude démontre l’existence de préjugés chez les chargés d’affaires qui peuvent conduire un client à obtenir deux décisions différentes au sein d’une même banque.
En 1889 et 1891, les dérives financières de deux établissements ont entraîné de lourdes amendes et des peines de prison, évitant par la suite toute faillite jusqu’à la Première Guerre mondiale.
Les chutes de Silicon Valley Bank et du Credit Suisse ont poussé la Réserve fédérale américaine et la Banque nationale suisse à déverser à nouveau des liquidités sur les marchés.
Dérégulation, engouement pour des actifs spécifiques, innovation… De nombreux éléments identifiés par le passé invitent à la prudence au moment de minimiser la portée des événements bancaires récents.
Les prévisions des producteurs d’information constituent des indicateurs avancés des crises qui peuvent survenir. La complexité des activités bancaires complique toutefois leur tâche.
Les déboires de la Silicon Valley Bank et du Credit Suisse s’expliquent par leurs liens avec les banques « parallèles » non soumises à la réglementation qui ont conduit à détériorer leur solvabilit
Chargé de recherche, Fondation pour les Etudes et Recherches sur le Développement International (FERDI); Chercheur associé au CERDI (UMR UCA-CNRS-IRD), Université Clermont Auvergne (UCA)