Malgré le scepticisme des professionnels, le marketing du « sans » séduit de plus en plus de consommateurs – à l’instar des tendances observées plus généralement l’alimentation bio.
Recettes limitées, raisons de santé publique peu crédibles… le projet de hausse de la fiscalité des vins semble surtout interroger notre rapport à ce produit comme élément de notre patrimoine.
Les exportations des vins les plus réputés battent tous les records tandis que les viticulteurs positionnés dans l’entrée de gamme arrachent leurs vignes faute de pouvoir écouler leur production.
La tendance aux vins sans intrants constitue un levier de développement prometteur pour l’industrie dans une période de baisse globale de la consommation.
Des algorithmes permettent désormais d’estimer le « juste prix » à payer pour le consommateur. Réservés pour l’instant aux grands crus, ils pourraient rapidement influencer le marché grand public.
Les poursuites contre deux figures du vignoble bordelais accusés d’être « juges et parties » révèlent les limites de l’évaluation des crus, un critère déterminant dans les décisions d’achat.
Alors que les feux de forêt continuent de se propager, les producteurs de raisins et les viticulteurs de l’Okanagan doivent faire face à la menace de plus en plus fréquente des émanations de fumée.
C’est notamment à cette époque, marquée par le manque de main-d’œuvre et les réquisitions pour soutenir le moral des poilus que sont apparues les premières appellations d’origine.
L’innovation évaluative des années 1970 a marqué le passage à une manière de parler du vin de plus en plus mondialisée, moins technique et plus axée sur le plaisir.
La vague de froid de début avril a touché une immense majorité de viticulteurs non assurés contre ce risque climatique. Dans ce contexte, de nouveaux produits pourraient voir le jour.
La crise a provoqué le repli de 36 % des ventes internationales (en valeur) sur les 4 premiers mois de 2020 et contraint la filière française à entamer des changements structurels indispensables.
Participation aux vendanges, dégustation de vins avec un œnologue… le tourisme autour du vin peut surfer sur la vague des vacances locales en permettant à chacun de vivre des expériences mémorables.
Le secteur du vin a bien saisi l’importance de prendre le virage de la transition écologique et mise désormais sur le développement d’expériences touristiques durables et responsables.
Troisième destination œnotouristique en France, la région de l’est capitalise sur 10 siècles de traditions et dispose de nouveaux de leviers de développement à activer.
Le succès des vins dépend étroitement d’appellations d’origine aux contours encore flous, comme en témoigne le récent tollé autour de l’exclusion de 64 communes bourguignonnes de la zone certifiée.
Soit les acteurs se structurent pour attirer davantage de visiteurs, soit ils continuent de miser sur un public restreint à la recherche de prestations haut de gamme.
Au-delà des mauvaises récoltes annoncées pour 2019, la filière est en proie à des problèmes structurels dont la résolution nécessite de rompre avec de vieilles habitudes.
Les millennials ont dopé la consommation de rosé : rien qu’aux États-Unis, 65 % entre eux se déclarent « buveurs de rosé ». Comment expliquer ce succès global ?