La musique exerce une grande influence sur notre cerveau, et détient entre autres le pouvoir de reconnecter des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer à leurs souvenirs les plus personnels.
Dans le combat contre Alzheimer, la pratique artistique constitue une alternative efficace aux médicaments. Le point sur cette approche, à l'occasion des Assises du vieillissement cognitif.
Une nouvelle étude montre que la mémoire autobiographique des personnes qui fument du cannabis est moins fidèle. Explications, à l'occasion de la journée internationale du cannabis.
Le moment est bien choisi, après les fêtes, pour s’interroger sur son comportement vis-à-vis de l’alcool. Est-ce toujours un simple plaisir, ou bien donne-t-on des signes de dépendance ?
Le métier de trader a une place prépondérante dans l’imagerie populaire. Mais quelles sont les caractéristiques d’un bon trader ? Les réponses de la neurofinance.
Une première mondiale : le programme « 13-Novembre » mobilise, sur 10 ans, des centaines de chercheurs pour explorer les enjeux mémoriels des attentats. Une réponse épistémologique à la tragédie.
La grossesse s’accompagne d’une cohorte de bouleversements que les neurosciences n’ont pas fini d’explorer : la maladresse, les fringales et les sautes d’humeur.
Pas si facile d'échapper aux préjugés. Les réactions de défiance vis-à-vis de ce que nous considérons comme extérieur s'ancrent dans nos cerveaux, héritage de l'évolution. Mais tout n'est pas dit…
Se gratter le visage, se mordre l’intérieur des joues, s'arracher les cheveux : certains gestes anodins relèvent de la pathologie dès lors qu’ils deviennent compulsifs.
Et si les objets de notre quotidien émettaient des ondes positives ? C’est l’esprit dans lequel des chercheurs se sont intéressés à des motifs de tissus particulièrement bien reçus par notre cerveau.
Assal Habibi, USC Dornsife College of Letters, Arts and Sciences
Nous avons désormais la preuve que la formation musicale joue sur le développement du cerveau, les progrès cognitifs, sociaux et émotionnels des enfants.
Y a-t-il un gène du « casse-cou » ? Certains d’entre nous aiment prendre des risques, parfois jusqu’à frôler la catastrophe. L’étude du cerveau nous en dit plus.
Jeune chercheur ATER terminant une thèse en neurosciences, au sein du Laboratoire de Neurosciences Cognitives, de l’Institut de Neurosciences des Systèmes et de l’Institut des Sciences du Mouvement, Aix-Marseille Université (AMU)