Si la déconnexion des individus vis-à-vis des espaces naturels et des espèces animales s’intensifie, des pistes existent pour renouer avec le non-humain.
Les activités minières destructrices dans les zones protégées du RD Congo sont monnaie courante car elles génèrent de l'argent pour les citoyens, les fonctionnaires et les groupes armés.
Les Fonds fiduciaires de conservation, qui ont fait leurs preuves à l’échelle locale, semblent pertinents pour diversifier le dispositif global de financement de l’accord post 2030.
Les feux de l’été 1988 ont brûlé un tiers du parc de Yellowstone aux États-Unis. Depuis, le parc a constitué un laboratoire précieux pour étudier comment les forêts se remettent des incendies.
Depuis plusieurs décennies, cet espace est en proie à un déséquilibre anthropo-écologique, auquel s’ajoute les changements climatiques amorcés depuis le début des années 1970.
Au XXᵉ siècle, le nombre des aires protégées ont augmenté de manière significative, pour répondre aux pressions croissantes sur les ressources naturelles, les écosystèmes et les paysages.
Montréal et Québec ont connu des baisses marquées de touristes étrangers et des dépenses touristiques. En contrepartie, les destinations de plein air ont profité de la hausse du tourisme intérieur.
En cette ère de changements climatiques, il est impératif d’assurer l’indépendance de Parcs Canada et de protéger cette société d’État de toute ingérence politique.
Au nom d’une vision fantasmée d’une Afrique sauvage et paradisiaque, les organisations internationales qui orientent la gestion des parcs naturels africains vident ceux-ci de leurs habitants humains.
Préserver les prairies de marais, leurs flore, faune et les services qu'elles rendent aux sociétés humaines, est indissociable du maintien d'une activité agricole extensive.
Maître de conférences à l'université Rennes 2. Chercheur à Tempora et chercheur associé au Centre Alexandre Koyré et à LAM (Les Afriques dans le Monde, Sciences po Bordeaux), Université Bordeaux Montaigne