La communauté paralympique est une forme stimulante et non stigmatisante de reconnaissance des personnes en situation de handicap. Elle est aussi une forme de retour aux sources de l’olympisme.
Après les JO paralympiques, la fête sera bien finie à Rio. L’heure de s’interroger sur le devenir des installations sportives bâties pour l’occasion, et l’impact de la crise économique.
Avec le retour de la démocratie et une période de forte croissance, le Brésil a mis en œuvre un plan très élaboré et bien doté visant à favoriser le succès de ses athlètes.
Au lendemain de la grande fête des Jeux olympiques, la question se pose : et si nous faisions nous aussi du sport. La pratique sportive, qui tend à baisser dans nos pays est pourtant essentielle.
Qu’est-ce qui détermine la force sportive d’une nation aux Jeux olympiques ? Pourquoi tel pays semble bien plus fort que d’autres et domine la compétition ? Réponses économico-politiques.
Face à la domination hégémonique de l’univers financier et au professionnalisme croissant, peut-on encore aimer le sport aujourd’hui ? Peut-être grâce à la survie de l’imaginaire sportif.
À Rio, les sportifs de haut niveau français seront à peine mieux lotis qu’auparavant, ils seront toujours aussi précaires et non reconnus comme travailleurs à part entière. Analyse de la loi.
Le sport paralympique français – géré par de deux fédérations distinctes – est sous la pression du mouvement international qui plaide pour une évolution du modèle hexagonal.
Courses à pied, sports de combat et pentathlon figuraient au programme des compétitions sportives célébrées dans la Grèce antique à Olympie. Des Jeux bien différents de ceux d'aujourd'hui.
Il n’y a pas que la compétition dans la vie d'un athlète. Sexe et sport font bon ménage, et Rio s’y est bien préparé. Mais qu’en est-il de l’impact sur la performance sportive ?
Pourquoi les coûts de l’organisation des JO sont-ils toujours en dépassement ? Peut-on sortir de la « malédiction du vainqueur » des enchères ? Analyse économique d’un « business » en inflation.
L’allocation de l’argent à cet événement, au détriment des importants besoins du Brésil en termes d’infrastructures et de services sociaux, est véritablement au cœur de l’insatisfaction.
L’organisation d’un événement sportif planétaire peut permettre de consolider une image, tout en la renouvelant. Dans le cas du Brésil, il est l"occasion d’amorcer un renouveau.
Seule une meilleure compréhension des ressorts du dopage peut permettre d’améliorer une action répressive largement inefficace. Il faut rompre avec une vision individualisante et moralisatrice.
La candidature de « Paris 2024 » surfe sur un triple storytelling intéressant, celui de la jeunesse, de la diversité et de l’environnement. Et ce, autant dans le fond (arguments du dossier) que…
Peut-on faire signe de tout… et de rien ? Peut-on tout événementialiser ? Réflexion autour des logos des candidats aux JO, à la lumière des leçons du Barthes de « L’Empire des Signes ».
Docteur en Études slaves contemporaines : spécialiste de la géopolitique de la Russie et du sport, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières