Aux États-Unis, l'accès à l'avortement s'est encore compliqué - surtout pour les femmes les plus vulnérables. Notamment au Texas (ici, manifestation à Austin contre les nouvelles lois en octobre 2021).
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Les conséquences des confinements liés au Covid dépassent la maîtrise de l’épidémie. Le comité d’éthique de l’Inserm s’est penché sur la gestion de l’avortement et les violences conjugales en France.
Sans les services proposés par les géants du numérique, le confinement n’aurait sans doute pas été possible aussi longtemps.
Justin Tallis / AFP
La montée en puissance des plates-formes, qui s’est accélérée depuis le printemps 2020, complexifie la réponse envisagée par les États en matière de régulation.
Les 10 % des plus riches sont deux fois moins nombreux que les 10 % les plus pauvres à percevoir une dégradation de leurs propres revenus.
Philippe Lopez / AFP
Malgré les amortisseurs sociaux, le fossé s’est creusé entre les ménages les plus aisés, qui ont pu épargner, et les plus modestes, dont le pouvoir d’achat a baissé.
Distribution de nourriture aux étudiants en situation de précarité par l'association Linkee, à Paris (mars 2021).
Stéphane de Sakutin /AFP
Les étudiants ont vécu des situations de confinement variées. Les inégalités que l’on constatait avant le confinement se sont accentuées, avec un impact sur leurs suivis médicaux.
Les nouveaux parents auraient plutôt profité du confinement. Malgré les nombreux défis, ils affirment que leur expérience de coparentalité se serait améliorée.
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Le confinement semble avoir été plutôt bénéfique pour les parents, qui ont signalé une amélioration de leurs conditions, tant sur le plan parental que relationnel.
Certains, comme Kay et Li, ont choisi de changer drastiquement d'habitat. Le couple s'est installé pendant le 1er confinement dans un bungalow de l'île de Ré, pour télétravailler et proposer à leur fille un cadre naturel, loin de la ville.
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Guy Tapie, École nationale supérieure d’architecture de Paris Val de Seine (ENSAPVS) – USPC
En limitant nos vies à l’enceinte de l’habitation, les confinements nous ont poussés à porter un nouveau regard sur elle, voire à revoir totalement nos stratégies résidentielles.
La pandémie a intensifié la pratique du sport à domicile.
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Depuis les débuts de l’épidémie de Covid-19, la pratique du sport à domicile a pris de l’ampleur.
Contrairement à ce qu’indique ce panneau encore en place à Nantes, port du masque n’est plus obligatoire à l’extérieur en France depuis le 17 mai.
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Pourquoi la baisse rapide des contaminations par le coronavirus a-t-elle surpris les modélisateurs ? À quoi s’attendre à la rentrée ? Combien de décès pourraient encore survenir ? Pistes de réponses.
La réouverture des bars et terrasses réactive la vie sociale mais aussi la crainte d’une forte alcoolisation de la jeunesse : or la recherche montre que celle-ci est plus responsable que l’on croit.
D'un statut de repas perçu comme anodin, le goûter est passé à celui de temps fort de la convivialité familiale avec les périodes de confinement.
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À une période où l’on est fortement incité à manger sainement, le goûter, associé aux produits sucrés et à l’enfance, a-t-il encore la cote ? Et s’il s’était réinventé avec la pandémie ?
Le Psithyre vestale (Bombus vestalis), qui butine ici un chardon-marie dans le parc de Belleville (XXe arrondissement de Paris), est un bourdon « coucou » : un intrus qui s’installe dans le nid du bourdon terrestre.
Vincent Zaninotto
Les confinements ont réaffirmé la place des insectes pollinisateurs sauvages dans la capitale.
Moins attachés que leurs aînés au modèle du repas structuré en entrée-plat-dessert, les jeunes apprécient les solutions « prêtes à consommer ».
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Si les jeunes apprécient de se retrouver entre amis dans les fast-foods, ils font aussi partie d’une génération soucieuse de l’environnement, ce qui fait émerger de nouvelles habitudes alimentaires.
Un pêcheur sur le Vieux Port de Marseille le 3 mai 2020.
Christophe Simon / AFP
La pandémie, alliée à d’autres facteurs, a touché plus ou moins durement les différents secteurs de la pêche française.
Devrons-nous recourir systématiquement à la technologie pour vaincre la crise sanitaire? Ici à Paris, terrasse d'un café ,le 23 mars où sont attablés les ‘ours en peluche’ de Philippe Labourel.
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Le passeport sanitaire va-t-il devenir une réalité ? Après des mois de débats parfois houleux et de controverses, le recours à des outils technologiques risque de bouleverser notre droit.
Le printemps et l'été sont les saisons les plus populaires pour les rénovations. Pour ne pas y laisser son couple, il est important d'établir des règles avant de commencer.
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Après un an de pandémie, la « distanciation sociale » apparaît comme l’indice d’une évolution profonde de nos sociétés et de nos modes de vie, imprégnés par la logique du sans contact.
Sur la Plaza Mayor de Madrid, le 25 mars 2021.
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Une étude d’économie comportementale relève la perte de bien-être des populations que peuvent engendrer des communications trompeuses sur les levées des mesures de restriction.
Une coach de fitness donne un cours par visioconférence pendant le premier confinement (avril 2020).
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Avec les restrictions liées à la crise sanitaire, la détresse psychologique augmente chez les étudiants. Pour endiguer ce mal-être, les établissements tentent de miser sur l’activité physique.
Jeune chercheur ATER terminant une thèse en neurosciences, au sein du Laboratoire de Neurosciences Cognitives, de l’Institut de Neurosciences des Systèmes et de l’Institut des Sciences du Mouvement, Aix-Marseille Université (AMU)
Professeur Emérite de Nutrition Université Sorbonne Paris Nord (Paris 13) - Praticien Hospitalier Département de Santé Publique, Hôpital Avicenne (AP-HP), Equipe de Recherche en Epidémiologie Nutritionnelle, U1153 Inserm,Inra,Cnam, Université Sorbonne Paris Nord
Psychiatre, addictologue, maître de conférences des universités - Praticien hospitalier, Inserm U1028 / CNRS UMR5292, responsable du SUAL (Service Universitaire d'Addictologie de Lyon), Université Claude Bernard Lyon 1