Depuis trop longtemps, les stéréotypes éculés véhiculés par les hommes au cinéma et dans la littérature se concentrent sur la précocité sexuelle des jeunes filles.
Diana Cooper-Richet, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay
A la fin des années 1920 Paul Robeson tisse, par le plus grand des hasards, ses premiers liens avec la classe ouvrière anglaise, quasi exclusivement blanche à cette époque.
Once Upon a Time… in Hollywood est sorti hier en France. L'occasion de se repasser le film de la carrière de Leonardo DiCaprio, entre grandeurs et rendez-vous manqués.
Comment s’explique l’essor des biopics, alors que de nombreux critiques soulignent qu’ils font rarement de grands films en raison de leur académisme ou de leur prévisibilité ?
Ce qui nous fascine, c’est de comprendre comment les autres s’en sortent pour survivre et s’épanouir. Et lorsque les plus astucieux nous montrent comment ils font, on leur en est reconnaissant.
Des représentations stéréotypées aux différences de salaires, en passant par une difficile accession aux métiers les plus prestigieux du cinéma, les femmes ne sont pas les enfants chéries du 7ᵉ art.
Maître de conférence au Département de Sciences Humaines et Sociales de l'ENS Paris-Saclay, Centre for Economics at Paris-Saclay (CEPS), École Normale Supérieure Paris-Saclay – Université Paris-Saclay